CetEstate GT 120 TCe EDC à remplacé une Berline Dynamique 90 TCe. La GT a une finition un cran au dessus et le coffre de la version Estate est suffisant pour en faire une voiture polyvalente. pourLes plus anciens d’entre nous diront que chez Renault il n’y a rien eu de mieux que la finition Baccara, aujourd’hui cette finition summum du luxe n’existe plus et a été remplacée depuis de nombreuses années par la gamme Initiale. Renault est très attaché à cette finition en rajoutant même le terme Paris » pour devenir Initiale Paris, pour insister sur le savoir faire à la française toussa toussa. Le constructeur français s’est penché sur son best seller, la Clio qu’il avait d’ailleurs présenté au dernier mondial de l’automobile en octobre dernier. Mais quand on pense marque Française, luxe, savoir faire il est impossible de ne pas penser à la marque DS qui est en concurrence direct avec cette finition Initiale Paris. Alors je me suis posé la question, la nouvelle Clio Initiale Paris est-elle plus chic qu’une DS3 ? Design La Clio IV n’est pas un nouveau modèle, Renault n’a pas transformé sa Clio qui cartonne mais a seulement modifié quelques petites choses et c’est très subtile il faut l’avouer. Ce modèle Initiale Paris gagne en classe, en prestance mais également en sportivité avec sa sortie d’échappement et son diffuseur emprunté à sa soeur la Clio GT. Mais la nouveauté la plus flagrante visuellement est les nouveaux feux avant bi-Xénon qui accueillent les feux de jour qui ne sont plus placés sur la calandre comme sur une Clio classique ». En passant à coté, impossible de ne pas remarquer qu’il s’agit d’une version Initiale Paris, c’est marqué en gros à l’arrière à la place de Clio », sur les ailes ainsi que sur les feux mais c’est beaucoup plus discret. Les nouvelles jantes de 17 pouces sont les plus belles jantes que Renault propose sur la Clio et sont exclusives à ce modèle. Moteur J’ai opté pour la motorisation TCe 120ch accompagné de la boite EDC, il s’agit du même moteur que sur la Clio GT. Voici les caractéristiques de ce moteur 4 cylindres en ligne turbocompressé, 16 soupapes de 120ch 6 CV à 4900 trs/min 190 Nm de couple à 2000 trs/min Boite EDC 6 vitesses Vitesse maximum de 199 km/h 0 à 100 km/h en Consommation mixte de 7l/100km Emission de CO2 120g/km Conduite La Clio reste une valeur sure sur ce segment, cela se vérifie une nouvelle fois sur cette version haut de gamme où l’on est très bien installée dans de beaux sièges en cuir. Le moteur TCe 120ch fait bien le job, je l’avais déjà essayé lors de mon essai de la Clio Estate GT, ce n’est pas non plus un foudre de guerre mais sa vocation n’est pas sportive. La boite EDC fonctionne très bien avec ce moteur, je regrette juste l’absence de palettes au volant dans le cas où l’on souhaite faire tomber un rapport ou au contraire en monter un dommage. Nouveauté sur cette finition, l’arrivée de la caméra de recul qui est placée sur le hayon à l’intérieur du sigle Renault, par contre le fait d’avoir placé la caméra à cet endroit est discutable ce n’est pas très jolie et je pense que cet emplacement est plus exposé aux chocs éventuels quand on ouvre le coffre. Dans sa quête de l’eco-conduite, Renault propose en dessous des compteurs, une barre lumineuse qui change de couleurs en fonction de la consommation de votre voiture, plus vous roulez avec une allure soutenue plus la barre passera de la couleur verte à rouge. Lorsque vous coupez le contact, la voiture vous indique votre consommation moyenne, consommation totale et le nombre de km sans consommation le tout représentant une feuille avec un score sur 100. J’aime beaucoup le coté gaming pour faire le meilleur score possible et donc consommer le moins possible. Ambiance à Bord A l’intérieur c’est aussi beau qu’à l’extérieur, le cuir y est omniprésent, sur les sièges, habillage de porte, sur le volant, boite de vitesses, levier de vitesses, planche de bord et c’est vraiment du plus bel effet. Petit détail un peu moche c’est le découpage de l’airbag dont les démarcations sont visibles sur la planche de bord coté passager. Le système d’infotainment RLink a fait ses preuves et au vue de ce que propose par exemple Citroën sur sa DS3, Renault est loin, très très loin devant. On aime L’exclusivité de ce modèle Initiale Paris le nouveau bloc optique Bi-Xénons + feux de jour Son équipement très complet On n’aime pas Consommation élevée en ville Prix peut être un peu élevée Vis à vis de la DS3, je dirais que Renault n’est pas encore arrivé au niveau de DS mais je ne pense pas que cela soit le souhait de Renault. Le constructeur français a réussi son coup avec une belle finition qui n’est pas inutile sur une voiture telle que la Clio, les équipements en plus qui n’existent pas sur le reste de la gamme en fait une voiture exclusive. Son prix est de pour ma version d’essai, la finition Initiale Paris est accessible à partir de TCe 90ch. Pour faire la comparaison avec la DS3 Sport Chic en THP 165 est affichée au prix de Merci à Renault pour ce prêt. Ce diaporama nécessite JavaScript. TCe120 EDC Energy (6 CV) 20 450 à 21 750 € sur GT; TCe 200 RS EDC (11 CV) 25 850 € TCe 220 RS Trophy EDC (11 CV) 28 900 € berline diesel; dCi 75 Energy (4 CV) 16 600 à 18 500 € dCi 90 eco2 Energy (4 CV) 19 200 à 19 600 € dCi 90 Energy (4 CV) 20 950 à 24 300 € ; EDC + 1 400 € estate essence; 1.2 16v 75 (4 CV) 14 100 à 15 900 € Error 403 Guru Meditation XID 610729010 Varnish cache server
Comparerla RENAULT Clio Génération IV (B98) Phase 1 NG 1.2 TCe 120ch Intens EDC eco² et la RENAULT Captur Génération I (J87) Phase 1 1.2 TCe 120ch Intens EDC
Tout le monde connaît la Renault Clio. En effet, la citadine au Losange est omniprésente dans nos rues, et ce depuis des années déjà . En fait, il s'agit même de la voiture la plus vendue en France, devant donc sa grande rivale sochalienne, la Peugeot 208. Avant de se plonger dans l'essai de cette variante TCe 120 Intens, recontextualisons brièvement les choses. Cette quatrième génération de Clio a vu le jour en 2012. Elle a reçu à la rentrée 2016 un restylage qui s'est traduit par de discrètes modifications esthétiques et une amélioration de la qualité perçue à bord, laquelle alimentait de nombreuses critiques jusqu'alors. La gamme s'est élargie avec l'apparition d'un dCi 110 ch et d'un essence TCe 120 en boîte manuelle à six rapports seule la boîte robotisée était proposée avec ce moteur auparavant. Léger repoudrage Les changements opérés par Renault lors de cette récente mise à jour ont été pour le moins discrets. Un œil non averti pourrait même s'avérer incapable d'énumérer les changements esthétiques, qui existent pourtant bel et bien. En fait, les designers se sont surtout concentrés sur la face avant, qui a gagné un regard légèrement retouché avec les feux de jour en C que l'on retrouve sur le reste de la gamme ainsi qu'une nouvelle grille de calandre. Les boucliers ont également légèrement évolué, aussi bien à l'avant qu'à l'arrière. Pour le reste, c'est le calme plat, ce qui est somme toute assez logique les lignes de cette Clio 4 ont toujours fait l'unanimité. Renault a donc logiquement opté pour la solution "allemande" de petites retouches subtiles pour ne pas dénaturer une recette déjà appréciée. Un habitacle bien pensé La finition de la Clio avait été vertement critiquée lors de sa présentation. Les choses se sont améliorées lors du récent restylage, avec l'apparition de plastiques de meilleure facture. Néanmoins, tout n'est pas encore parfait et certaines rivales font bien mieux sur ce point. La planche de bord est joliment dessinée, dispose de multiples espaces de rangements et offre une belle ergonomie. Elle accueille en son centre un écran tactile 7 pouces plutôt intuitif. En revanche, les indications du GPS ont été parfois un peu farfelues au cours de notre essai. Le choix des couleurs à bord de notre exemplaire est — à notre goût — un peu discutable. L'omniprésence du rouge confère en effet à l'habitacle un aspect populuxe qui agressera peut-être la rétine de certains. À croire qu'il est difficile de trouver le juste compromis entre le noir intégral et l'excès de teintes vives. Néanmoins, sachez que la Clio se déguste aussi avec des traitements intérieur plus sobres. La Clio est par ailleurs une citadine pratique, dotée d'espaces de rangements plutôt bien pensés. Elle offre également une habitabilité convenable à l'arrière et un coffre logeable 300 litres. Sa dotation dans cette version Intens est fournie et comprend par exemple le volant cuir, l'écran tactile 7" avec navigation, la climatisation automatique et la carte mains libres. Le régulateur/limiteur de vitesse et les projecteurs Full LED sont également de la partie. Un bon point donc, surtout au regard du tarif contenu 19'650 euros sans les options. 120 ch pour partir à l'assaut des grands axes ? La Clio a d'abord été conçue pour la ville, et cela se sent au volant. Elle est en effet maniable et s'insère facilement dans le flot de circulation urbain. Le moteur essence vibre peu et se montre suffisamment présent à bas-régime pour relancer la voiture sans peine. La direction légère et la visibilité correcte facilitent également le quotidien, tout comme le radar de stationnement et la caméra de recul. Un défaut chagrine toutefois l'excessive fermeté des suspensions sur mauvais revêtement, qui dégrade un confort par ailleurs correct. Puissante, la Clio TCe 120 promet sur le papier une belle polyvalence. Et force est de reconnaître qu'elle affiche une belle aisance hors des centre-villes. Notre voiture affichait en effet une belle aisance sur les routes du réseau secondaire, avec un comportement dynamique et un train avant plutôt incisif. De plus, et c'est là l'avantage principal de ce gros moteur, la réserve de puissance permet de relancer efficacement la voiture, ou même d'effectuer un dépassement en toute sérénité. Et pour ne rien gâcher, les inégalités sont bien absorbées une fois la voiture lancée, tandis que l'insonorisation est correcte à 90 km/h. En revanche, ne vous attendez pas à vivre le grand frisson au volant. En effet, les 120 ch du quatre-cylindres Renault ne sont pas franchement portés vers la gaudriole. Pourtant associé à une boîte de vitesses bien étagée, ce moteur ne délivre pas de sensations sportives à proprement parler ses montées en régime sont très linéaires et sa sonorité est quelconque. De plus, les performances pures et dures n'ont rien d'extraordinaire compte tenu de la puissance, avec par exemple un 0 à 100 km/h en 9 secondes. Une fois lancée sur l'autoroute, la Clio oublie oublie ses bonnes manières et devient vraiment bruyante. Le réflexe naturel consiste souvent à monter le son de la radio, émis par un système Bose sur cette finition Intens. On découvre alors que, malgré ce nom ronflant, la Clio n'offre rien de particulièrement remarquable en la matière. Le son est en effet correct, mais sans plus. Sans ces problèmes d'insonorisation, la Clio, à la fois confortable et performante, rendait ici une copie presque parfaite. Vraiment dommage. Conclusion Notre essai s'achève sur un sentiment étrange. Le TCe 120 ch est un bon moteur, la Clio une citadine accomplie, et pourtant la sauce ne prend pas. Pourquoi ? Tout simplement parce que l'intérêt d'une grosse motorisation sur cette voiture ne saute pas aux yeux. Car si les performances sont bien là , la Clio avoue encore des faiblesses sur les grands trajets, à commencer donc par une insonorisation insuffisante sur autoroute. Et puisque dans le même temps les sensations sportives sont aux abonnées absentes, on ne peut pas parler de mariage cohérent. Ni autoroutière, ni sportive, cette Clio TCe reste une voiture destinée aux milieux urbains et péri-urbains. En d'autres termes, le surcoût qu'impose le TCe 120 par rapport au TCe 90 par exemple aussi bien en matière de prix d'achat que de coûts d'utilisation se justifie difficilement, même si la consommation reste correcte environ 7,4 litres/100 km mesurés au cours de notre essai. Mieux vaut donc se tourner vers un moteur plus raisonnable. Il vous permettra de découvrir à moindres frais les qualités de la Clio, qui reste dans l'ensemble une citadine maniable, pratique et assez confortable. En revanche, il ne faudra pas s'attarder sur la qualité des matériaux, même si Renault a bien amélioré sa copie. Cela dit, sur ce segment, il ne s'agit pas d'un défaut vraiment rédhibitoire, ce que prouvent d'ailleurs les scores commerciaux de la Clio ! Lire aussi Essai Ford Fiesta 7 2017 - La plus techno des citadines Essai Citroën C3 BlueHDI 100 ch - La formule parfaite ? Essai Volkswagen Polo 2017 - Elle prend enfin des couleurs ! Points positifs Points négatifs Performances correctes Insonorisation Confort Qualité moyenne Maniabilité Moteur sans caractèreLapetit SUV de Renault se porte bien, merci pour lui : il vient de finir l’année 2016 en 4e place des voitures vendues en France, et à la première place des SUV devant le 2008. A l’été 2016, Renault lui a donné une nouvelle offre mécanique : le 4 cylindres essence TCE 120, auparavant uniquement disponible avec la boîte EDC, l’est désormais aussi avec une boîte Lenouveau petit SUV de Renault : c’est lui ! Il s’appelle Captur, est construit sur une base de Clio 4 mais affiche quelques centimètres de plus pour atteindre 4.12 m de long et 1.57 m de haut. Il a pour rivaux le Nissan Juke et principalement le Peugeot 2008, basé de son côté sur la 208. Bien qu’il s’agisse d’un SUV, le Captur n’existe qu’en deux roues motrices. La