Introductionde L’huître de Ponge : Lorsqu’il publie, en 1942, Le Parti pris des choses, Francis Ponge rompt avec la tradition de la poésie lyrique, qui plaçait au cœur de l’écriture poétique le « je » du poète, sa sensibilité et ses émotions.
Réservé aux abonnés Publié le 12/05/2020 à 1557, Mis à jour le 12/05/2020 à 1557 Francis Ponge, en février 1977. Sophie Bassouls/©Sophie Bassouls/Leemage Dans son recueil, paru en 1942, le poète s’inspire du quotidien dont les éléments, souvent familiers, sont délibérément choisis pour leur apparente banalité. La poésie du quotidienSi j’ai choisi de parler de la coccinelle, c’est par dégoût des idées», écrit Ponge en 1943. À rebours des poètes idéalistes qui tapissent leur intériorité de paysages romantiques, l’auteur prêche pour une prose réaliste. Ni subjectivité, ni lyrisme. Ce qui intéresse Ponge, c’est l’ici et le maintenant, le détail des choses familières. Si l’on peut être surpris en lisant un texte sur un morceau de viande», il ne faut pas voir dans le trivial un territoire étranger à la matière verbale. Les mots comme les choses qu’ils désignent, ont une chair, un goût et une couleur. Il y a dans Le Parti pris une déprise, une désaffection à l’égard du casse-tête métaphysique», expliqua-t-il. Est-ce pour cela que Ponge fait de son corps une éponge? Ses yeux se baladent avec la pluie» quand ses doigts défient l’huître» de les couper. L’auteur réinvente les objets du quotidien par la grâce d’historiettes qui confinent parfois à la définition, voire la c’est mentir Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 65% à sa liberté, c’est cultiver sa à lire votre article pour 0,99€ le premier mois Déjà abonné ? Connectez-vous
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Ala merci de la grande petite Nymphadora la jeune OdP se demandait bien quelle idée complètement décalé pouvait bien traverser son esprit C'est donc quelqu
Plan de la fiche sur Le papillon de Ponge Introduction Francis Ponge Francis Ponge est un poète français du XXème siècle. Considéré comme un poète contemporain, il a fréquenté les surréalistes avant de s'engager dans la résistance. Il côtoiera également Camus et Eluard. Avant cela, dès ses 17 ans, il éprouve déjà une violente révolte contre le parler ordinaire ». Son père meurt en 1923 et il connait un sentiment qu'il qualifiera lui-même de rage de l'expression » désir de s'exprimer mais difficulté éprouvée à y parvenir. Le Parti pris des choses est un recueil de poèmes en prose qui paraît en 1942. Le Papillon fait partie de ce recueil. Questions possibles à l'oral Ce poème est-il un éloge de la transformation ? Texte du poème Le papillon Lorsque le sucre élaboré dans les tiges surgit au fond des fleurs, comme des tasses mal lavées, - un grand effort se produit par terre d'où les papillons tout à coup prennent leur vol. Mais comme chaque chenille eut la tête aveuglée et laissée noire, et le torse amaigri par la véritable explosion d'où les ailes symétriques flambèrent. Dès lors le papillon erratique ne se pose plus qu'au hasard de sa course, ou tout comme. Allumette volante, sa flamme n'est pas contagieuse. Et d'ailleurs, il arrive trop tard et ne peut que constater les fleurs écloses. N'importe se conduisant en lampiste, il vérifie la provision d'huile de chacune. Il pose au sommet des fleurs la guenille atrophiée qu'il emporte et venge ainsi sa longue humiliation amorphe de chenille au pied des tiges. Minuscule voilier des airs maltraité par le vent en pétale superfétatoire, il vagabonde au jardin. Francis Ponge - Le Parti pris des choses - 1942 Vocabulaire Erratique sans comportement planifié. Guenille personne méprisable, vaurien. Lampiste a ici un double sens - Employée chargée de l'entretien des lampes. - Personne que l'on fait passer pour responsable d'une faute commise par ses supérieurs familier. Superfétatoire superflu Le paysage aux papillons, Dali, 1956 Annonce des axes I. La métamorphose du papillon 1. Une description réaliste de la nature 2. La métamorphose une explosion 3. Une métamorphose incomplète II. Un poème sur la transformation 1. Une nature ramenée au monde humain 2. Un poème sur la transformation 3. Une transformation bénéfique ? Commentaire littéraire I. La métamorphose du papillon 1. Une description réaliste de la nature Une partie de la description de Ponge de la nature est assez réaliste. Réseau lexical de la nature "tiges, "fleurs", "papillon"…. Description précise d'un phénomène "sucre élaboré". La nature est généreuse dans cette première phrase, puisque le sucre "surgit" -> impression d'abondance. Le papillon n'est pas mentionné directement -> effet d'attente. Cette description est comme un récit montrant l'activité du paillon, de son envol à l'errance finale événement activant l'activité du papillon -> retour sur la métamorphose du papillon -> activité du papillon -> errance du papillon. Utilisation de connecteurs temporels pour décrire le déroulement du récit "Lorsque", "tout à coup", "Dès lors"… 2. La métamorphose une explosion La métamorphose est représentée comme une véritable explosion. La métaphore de l'explosion est filée. "Mais comme chaque chenille eut la tête aveuglée et laissée noire, et le torse amaigri par la véritable explosion d'où les ailes symétriques flambèrent." L'explosion a aveuglé la chenille par sa lumière, et l'a laissé "noire", et elle a pour conséquence d'un torse amaigri => brûlure d'une explosion. Le terme "explosion" est utilisé explicitement, c'est une hyperbole. Cette explosion n'est pas anarchique puisqu'elle génère des ailes "symétriques". L'utilisation du terme "flambèrent" rappellent l'idée d'explosion et de rapidité. Toute la vie du papillon est concentrée dans ses ailes puisque ce sont les seuls éléments du papillon qui ne sont pas détériorés par l'explosion, mais qui au contraire naissent de l'explosion. On a donc l'idée que la chenille se transforme en papillon d'un seul coup, dans un éclat de lumière. Cette métaphore filée de l'explosion est liée à la métaphore de l'allumette volante plus loin dans le poème. 3. Une métamorphose incomplète Le paillon subit les conséquences de la métamorphose "chaque chenille eut la tête aveuglée" => le papillon ne s'est pas remis de cet aveuglement puisqu'il a un comportement "erratique" = non planifié, hasardeux. Les corps du papillon portent encore les stigmates de la métamorphose "la tête aveuglée et laissée noire, et le torse amaigri" -> utilisation d'adjectifs péjoratifs. L'explosion a une double conséquence néfaste brûlure, aveuglement, torse amaigri… et bénéfique naissance du papillon. "la guenille atrophiée qu'il emporte" désigne le reste du corps de la chenille. Il y a d'ailleurs une similarité de sonorités dans les mots guenille et chenille. L'utilisation du verbe emporter montre que ce corps ne fait pas tout à fait partie du papillon et qu'il est un fardeau pour ce papillon. II. Un poème sur la transformation Ce poème a pour thème la transformation d'un papillon, pourtant, les métaphores poétiques nous montrent la vision de Ponge au-delà de ce premier aspect des choses, et replacent le poème dans le cadre du monde humain. 1. Une nature ramenée au monde humain Ponge fait correspondre le monde végétal et animal au monde humain, grâce aux métaphores. Effet comique par le décalage de la première métaphore du poème qui compare les fleurs, symboles de la vie et de la beauté, à des "tasses mal lavées" ramenant ainsi la fleur au rôle de simple contenant pour le sucre dont les papillons viendront se nourrir. Ponge ramène la nature à un univers humain et familier, presque domestique. On a ici paradoxalement l'inverse de ce que l'on trouve d'habitude dans ses poèmes puisque d'habitude Ponge voie la poésie dans des objets où ne penserait pas la voir. Personnification du papillon utilisation du terme "torse" qui se rapporte plutôt au corps humain on parle de thorax pour les insectes. Métaphore filée du lampiste. Utilisation du verbe "vagabonder". Notion de travail et de productivisme sucre "élaboré", "lampiste", "vérifie la provision d'huile" -> connotation industrielle. 2. Un poème sur la transformation Le papillon, thème et nom du poème, est un symbole de la transformation puisqu'il naît chenille pour devenir papillon. Un événement soudain déclenche un changement. L'utilisation du terme "Lorsque" en début de poème et du verbe surgir montre la soudaineté de l'événement l'arrivée du sucre. Cet événement a une conséquence immédiate, introduite par le tiret de la première phrase, et cette conséquence est importante " grand effort" et immédiate "tout à coup". Interprétation possibles transformation politique par une révolution, libération du joug d'un ennemi tyrannique le poème est publié en 1942, pendant la seconde guerre mondiale, passage de l'âge enfant à l'âge adulte adolescence qui est le temps des changements du corps, lutte des classes ascension sociale comme le papillon qui passe du sol à la fleur … 3. Une transformation bénéfique ? On ne peut pas ici parle d'un éloge de la transformation, car comme indiqué précédemment, la transformation a une double conséquence néfaste et bénéfique. Comme indiqué, la transformation a laissé des séquelles physiques handicapantes et irréversibles. Ces séquelles enlèvent le libre arbitre du papillon, puisqu'il se pose "au hasard", et a un comportement "erratique", comme s'il ne pouvait plus raisonner. Le papillon est symbole de la vie. Pourtant, il ne transmet pas cette vie à d'autres "sa flamme n'est pas contagieuse." La transformation a été trop tardive puisqu'il arrive "trop tard" sur les fleurs. Il se transforme alors en lampiste avec une métaphore filée. Lampiste a ici un double sens - Employée chargée de l'entretien des lampes. - Personne que l'on fait passer pour responsable d'une faute commise par ses supérieurs familier. Le deuxième sens est bien sûr péjoratif. De plus, la tâche de ce lampiste est peu gratifiante vérifier la quantité d'huile. Utilisation du terme péjoratif "guenille". Cependant, la transformation permet au papillon de se "venger" de "sa longue humiliation amorphe de chenille au pied des tiges.". Mais cette vengeance est en fait illusoire puisqu'il ne peut que se comporter en lampiste sur les fleurs. Interprétation possible critique de la société qui paraît promouvoir l'ascension sociale papillon qui passe du sol à la fleur, vue comme une vengeance par le protagoniste, mais qui en fait n'est qu'illusoire. Enfin, dans la dernière phrase du poème, on voit que le papillon n'est plus maître de ses mouvements car il est "maltraité par le vent" et il "vagabonde" -> pas de but précis, la transformation n'a pas pu donner de but à sa vie. Cette dernière phrase montre également la fragilité et la beauté du papillon par une dernière métaphore "minuscule voilier des airs". => Libre interprétation pour le lecteur sur l'intérêt de la transformation de la chenille en papillon, et donc de la transformation en général. Conclusion Le poème Le papillon, de Francis Ponge, décrit la métamorphose et l'activité d'un papillon. Pourtant, les métaphores ramènent le lecteur au monde humain. Ce poème sur la transformation n'est pas un éloge de la transformation, mais l'interprétation est libre pour le lecteur. Par ce texte en prose, Ponge nous livre un poème grâce à sa vision au-delà de l'aspect premier des choses qu'il nous transmet grâce à ses métaphores.
LeParti pris des choses est le premier recueil de Ponge, il a été publié en 1942, il possède 32 poèmes en prose. Dans ce recueil, le poète décrit des objets banals, quotidiens. « L’huitre » est
Aller au contenu 💡 Ci-joint, un court résumé de Le Parti pris des choses de Francis Ponge, et le lien avec Les Fleurs du mal de Baudelaire et l’alchimie poétique. Le Parti pris des choses est un recueil de poèmes en prose écrit par Francis Ponge entre 1924 et 1939 et paru en 1942. Le recueil est souvent désigné comme l’oeuvre maîtresse de Francis Ponge ; le spécialiste Jean Thibaudeau le décrit comme l’accès indispensable à toute l’oeuvre de Ponge ». Il rassemble des descriptions minutieuses de choses en apparence banales objets, lieux, phénomènes naturels… en utilisant la langue comme moyen de les connaître poétiquement, l’objectif étant de rendre compte du “monde dans une chose”. L’alchimie poétique, c’est-à-dire le procédé consistant à transformer l’ordinaire en significatif à l’aide de la poésie, occupe une place centrale dans Le Parti pris des choses. Ainsi, le poète puise ses sujets dans le monde qui l’entoure un cageot, une cigarette… mais les voit autrement il regarde le monde en artiste, puis utilise les ressources du langage poétique pour présenter différemment le monde, et va jusqu’à transformer la laideur en beauté. Par exemple, dans le poème L’huître, Ponge choisit quelque chose de banal qu’il décrit comme “grossier” de la nourriture une huître, dont il donne une description méticuleuse de l’extérieur puis de l’intérieur ; mais il lui donne ensuite un sens profond, en associant à l’huître la symbolique de l’univers “à l’intérieur l’on trouve tout un monde” en faisant référence à la création du monde dans les textes bibliques “les cieux d’en-dessus s’affaissent sur les cieux d’en-dessous”. De la même manière, dans le poème Le pain, l’aliment éponyme dont il décrit dans un premier temps la croûte devient une terre qui cuit dans le “four stellaire”. Cela n’est pas sans rappeler le travail similaire d’alchimie poétique de Charles Baudelaire, qu’il résume dans l’épilogue pour la deuxième éditions des Fleurs du Mal “Tu m’as donné ta boue et j’en ai fait de l’or”. Cliquez ici pour retrouver la fiche sur les différences entre Baudelaire et Ponge.
Résumédu document. L'Huître de Francis Ponge est un des poèmes extraits du recueil Le Parti pris des choses dans lequel l'auteur cherche par l'écriture à restituer l'âme des
___L'huître, de la grosseur d'un galet moyen, est d'une apparence plus rugueuse, d'une couleur moins unie, brillamment blanchâtre. C'est un monde opiniâtrement clos. Pourtant on peut l'ouvrir il faut alors la tenir au creux d'un torchon, se servir d'un couteau ébréché et peu franc, s'y reprendre à plusieurs fois. Les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles c'est un travail grossier. Les coups qu'on lui porte marquent son enveloppe de ronds blancs, d'une sorte de l'intérieur l'on trouve tout un monde, à boire et à manger sous un firmament à proprement parler de nacre, les cieux d'en dessus s'affaissent sur les cieux d'en dessous, pour ne plus former qu'une mare, un sachet visqueux et verdâtre, qui flue et reflue à l'odeur et à la vue, frangé d'une dentelle noirâtre sur les très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à s' Ponge, Le Parti pris des choses, L'auteur 1899-1988 Francis Ponge est né en 1899 à Montpellier héhé.Il fait ses études à Caen. En 1918, il est reçu au baccalauréat de droit mais ne parvient à obtenir ni sa licence de philosophie ni son entrée à l'Ecole 1940, pendant la 2ème Guerre Mondiale, il entre dans la Résistance, et sera renommée va croître grâce à Sartre et Philippe va être traduit en plusieurs langues et donnera des tas de 1981, il reçoit le Prix national de meurt en Parti pris des choses est un recueil de poèmes en prose paru en Parti pris des = il prend aux objets = ce recueil, Ponge décrit des "choses", des objets banals, quotidiens. Il refuse le lyrisme, et l'utilisation d'un langage artificiel. La poésie doit venir de l'objet décrit, elle ne doit pas être toute prête à se poser sur l'objet. C'est en regardant l'objet qu'elle vient, Le texte Le commentaire ___I__Une écriture apparemment cette impression est accentuée par le choix du poème en prose au lieu de la poésie description organisée en trois construit en 3 temps = 3 certaine 1er paragraphe une description extérieure de l'huître d'une apparence » 2ème paragraphe on passe à une description plus précise et plus intérieure à l'intérieur » 3ème paragraphe description d'un élément plus particulier à l'intérieur de cette huître = la perle. La ____..particularité de cette description est marquée par les 1ers mots parfois très rare » → ça n'arrive ____..pas Et cette progression de l'extérieur vers l'intérieur, du général au particulier, se marque aussi par une ____..évolution de la forme des paragraphes ils sont de plus en plus courts, puisqu'on focalise sur des ____..éléments de plus en plus précis. En outre, le 1er paragraphe est constitué de plusieurs phrases 5, le ____..2ème est une seule longue phrase, et le 3ème est une phrase beaucoup plus de l'huître = la Elle est d'emblée comparée à un galet » un minéral connotant cette idée de solidité, de longévité, ____..idée qui sera renforcée par l'expression opiniâtrement clos » l'adverbe renforce l'impression de ____..solidité de cette fermeture elle est bien fermée.___♠ On insiste sur la difficulté pour venir à bout de l'huître, pour l'ouvrir ______○ La difficulté est déjà mise en évidence par l' apparence plus rugueuse » c'est désagréable au _______..toucher, il est difficile de s'en La solution pour l'ouvrir = une solution en trois temps, comme s'il fallait respecter à la lettre trois _______..étapes cf. rythme ternaire marqué par les virgules En outre, il faut s'y reprendre à plusieurs _______..fois ».______○ Il faut utiliser des instruments un torchon » puis un couteau ébréché » un couteau à dents = _______..une arme !.______○ Impression de violence renforcée il faut la tenir au creux » = il ne faut pas faire n'importe _______..comment, il faut bien l'avoir en main, ne pas la laisser filer ; avec un couteau ébréché » = le _______..couteau est déjà dangereux à lui seul, mais il ne suffit pas, il faut une lame ébréchée qui est encore _______..plus tranchante ; et on est obligé de porter des coups » qui vont abîmer l'huître, lui laisser des _______..marques marquent son enveloppe de ronds blancs » Ce processus est qualifié de travail _______..grossier » car on a du mal à l'ouvrir, on tape un peu partout quand on n'a pas la bonne _______..technique → il faut y aller fortement pour qu'elle Et l'huître ne se laissera pas faire, elle va résister elle fait de la résistance les doigts curieux s'y _______..coupent, s'y cassent les ongles » deux verbes exprimant une violence renforcée par _______..l'allitération en [k] = elle se intérieur rempli d'éléments hétéroclites = en tous genres.Une certaine indistinction dans ce que l'on trouve à l'intérieur ___ Déjà le fait que cette description ne soit constituée que d'une seule phrase à 10 avec beaucoup de ____..juxtapositions insiste sur une sorte de difficulté pour définir ce dont il s' La 1ère expression tout un monde » est renforcée par à boire et à manger » qui, au sens propre, ____..signifie qu'il y a de l'eau et un fruit de mer, et au sens figuré qu'il y a toutes sortes de On énumère des éléments appartenant à des réalités diverses les cieux » = l'air, une mare » = ____..l'eau, le sachet » fait davantage référence à une fonction on peut mettre des choses dedans, la ____..dentelle » = une matière de tissu, d'autant plus qu'elle est frangée » = des fils pendent = représentation ____..très Certaines expressions mettent en évidence le côté insaisissable de certains éléments ______● les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous » il devient difficile de _______..distinguer lequel est lequel, tout se qui flue et reflue à l'odeur et à la vue » expression d'une mobilité qu'aucun sens se semble _______..en mesure de fixer, ni l'odorat ni la perle = beauté et beauté perle », nacre » = l'intérieur de l'huître, orner » = fonction rareté très rare » superlatif, formule » = petite forme ce n'est pas démarche apparemment objective de objet ».___♪ Certaines formulations que l'on pourrait retrouver dans un article de dictionnaire ______● On énonce d'emblée ce dont on va parler l'huître » = 1er Les deux premiers verbes = verbe être » il s'agit de déterminer une identité, de définir c'est » _______..est l'équivalent d'un égal.______● On trouve des éléments propres à une définition la taille grosseur », la couleur blanchâtre » _______.. blancs » verdâtres » noirâtre » la consistance rugueuse » visqueux » _______.. la matière nacre » c'est un élément que l'on retrouverait dans n'importe quelle définition _______..d'une huître, tout comme la présence d'une perle, de même pour à boire et à manger » qui signifie _______..qu'elle est comestible.___♪ L'énonciation semble aussi chercher une certaine objectivité ______● Recours constant à l'impersonnel on peut » on trouve » qui est beaucoup plus _______..généralisant qu'une 1ère personne du pluriel par exemple la formulation on trouve » est typique _______..d'un texte descriptif.______● Ou bien on trouve des formulations qui rappellent un mode d'emploi, une notice explicative il faut _______..alors la tenir ..., se servir d'un couteau ... » un peu comme une recette de cuisine._____3__Une recherche du détail.═> Une certaine précision au creux d'un torchon », couteau ébréché », marquent son enveloppe de ___ronds blancs », sachet visqueux et verdâtre ».______● Les adverbes accompagnent les adjectifs pour mieux les préciser brillamment blanchâtre », _______.. opiniâtrement clos ».______● Recours à des comparatifs de supériorité ou d'infériorité plus rugueuse », moins unie », _______..comme pour introduire une donnée mathématique.═> Et une description qui fait appel aux différents sens pour permettre au lecteur de se représenter au mieux ___l'objet dont il est question ______● La vue grosseur », couleur », brillamment », blanchâtre », ronds blancs », vue » Le toucher rugueuse », ébréché », visqueux ».______● Le goût à boire et à manger ».______● L'odorat odeur ».______● Et dans une certaine mesure, connotation à l'ouïe parler » gosier » Toutefois ces précisions semblent souvent approximatives cf. récurrence du suffixe –âtre » dans __.. blanchâtre », verdâtre »... ou encore une sorte de halos » un texte qui présente toutefois les caractéristiques d'un dissocie le fond de la forme mais ça va avec la problématique Peut-on parler de poésie ? car les procédés que nous allons évoquer sont typiques de la jeux de sonorités malgré la prose.___♣ Des homéotéleutes noirâtre », blanchâtre », verdâtre » qui fonctionnent un peu comme des ____.. Des jeux sur les allitérations et assonances ______○ En [k] les doigts curieux s'y coupent, s'y cassent les ongles .... Les coups qu'on lui porte _______..marquent son enveloppe » En [r] parfois très rare une formule perle à leur gosier de nacre, d'où l'on trouve aussitôt à _______..s'orner » En [s] les cieux d'en-dessus s'affaissent sur les cieux d'en-dessous » En [v] et [f] visqueux et verdâtre ..., flue et reflue à l'odeur et à la vue » + assonance en [u] _______..des labiovélaires._____2__Des jeux sur le langage = les Sur la polysémie jeu entre les sens propre et figuré ______○ à boire et à manger » aspect comestible de l'huître / huître composé d'éléments _______.. firmament ... de nacre » firmament” est un terme habituellement utilisé en poésie, le _______..nacre » aussi pour exprimer la pureté teint de nacre par exemple / mais ici cela fait référence à la _______..matière même dont l'huître est constituée d'ailleurs le jeu sur le sens propre et le sens figuré est _______..mis en évidence par l'expression à proprement parler » mise entre parenthèses c'est comme si _______..le poète nous disait qu'il avait conscience d'utiliser un vocabulaire traditionnellement poétique, il _______..précise car en général il utilise le langage Une sorte d'oxymore brillamment blanchâtre » le terme blanchâtre » connote un côté Des personnifications c'est un monde opiniâtrement clos » l'opiniâtreté = le fait de mettre de la ____..persévérance, de l'acharnement est une qualité humaine ; un couteau ... peu franc » connotation ____..morale d'une absence de franchise ; leur gosier de nacre » la On va même jusqu'à la métonymie les doigts curieux » pour désigner la personne qui tente, par ____..curiosité, d'ouvrir l'huître avec ses métaphore filée entre l'huître et le On retrouve cette idée explicitement à deux reprises dans le poème dans le 1er § = l'huître vue de _____l'extérieur c'est un monde » et dans le 2ème § = l'intérieur de l'huître tout un monde » On note aussi la présence de tout un vocabulaire qui se rattache à l'idée de monde, d'univers les _____halos » qui sont des auréoles autour des astres, le firmament » qui est la voûte céleste, les cieux _____d'en-dessus [et] les cieux d'en-dessous ».___☼ À l'intérieur de ce monde, on a une sorte de mer élément aquatique après éléments célestes une _____mare », qui flue et reflue » cf. les mouvements de la marée, à l'odeur » peut renvoyer à l'odeur _____d'iode typique de la mer en même temps l'huître vient de la mer..., sur les bords » les bords _____de mer....___☼ Un monde caractérisé où tout à l'air de se mêler ______● Les cieux » se mêlent entre eux, puisqu'ils s'affaissent » les uns sur les Si bien que ces cieux se confondent en une mer, comme s'il n'y avait plus d'horizon pour ne plus _______..former qu'une mare ».______● Qui devient même solide dans une certaine mesure puisqu'elle devient sachet ».______● Un mélange des couleurs le nacre » se mêle au verdâtre » et au noirâtre ».______● Un monde en mouvement, insaisissable s'affaissent » mouvement vertical, flue et reflue _______..» mouvement horizontal, visqueux » renforce le côté insaisissable.→ On a bien affaire à une transfiguration poétique du réel le réel est transformé en poésie, dès lors cette ___description devient symbolique du dernière phrase = une chute une formule perle » formulation très 1er sens = une petite forme apparaît comme une Mais c'est d'autant plus vrai que ce qui apparaît est effectivement une perle le trésor de l'huître.______○ Le terme formule » peut signifier une formulation, c'est-à-dire ce que l'on dit → or, ce qui _______..apparaitrait ce ne serait pas simplement une petite forme ou une perle, mais aussi une parole, ce _______..sens serait confirmé par la présence, juste après, du terme gosier » appartenant au même _______..champ lexical = partie intérieure de la gorge d'où sort la Si on part de cette hypothèse, quelle serait cette parole ?______○ Ses caractéristiques la rareté très rare » mais aussi perle » = ce n'est pas un débit abondant, _______..l'organe de celui qui parle est de nacre » = idée de blancheur, de pureté la parole est précieuse, _______..et cette parole sert à orner », c'est-à-dire qu'elle a un but Rareté + pureté + esthétique = caractéristiques de la parole → la perle dont il s'agit est en fait un poème le texte est donc une sorte d'allégorie sur la création _______..poétique, l'huître qui produit la perle serait alors le monde lecture rétrospective du poème au vu de cette signification § la création poétique vue de l' L'insistance sur l'idée de fermeture, de quelque chose qui est clos », rugueux », met en évidence ____..l'hermétisme poétique pour les autres, qui voient cela comme quelque chose de peu abordable, de ____.. La difficulté pour ouvrir l'huître symbolise la difficulté d'entrer dans l'univers poétique pour quelqu'un qui ____..n'est pas initié, même si cette entrée est possible à force d' Toutefois il y a une dévalorisation de ces tentatives d'intrusion ______▪ La connotation de violence on a l'impression que les "profanes" en poésie violeraient une sorte de _______refuge, d'ailleurs ils abîment l'huître par leurs tentatives d'intrusion puisque leurs coups ... _______marquent son enveloppe de ronds blancs ».______▪ C'est parce que leur motivation est mauvaise tout d'abord, on peut penser qu'ils cherchent _______absolument à s'approprier les secrets de cette création ils tiennent l'huître au creux d'un torchon » _______et simplement par curiosité doigts curieux » ou malveillance ou traîtrise couteau ébréché et peu _______franc ».___ Mais beaucoup s'y coupent, s'y cassent les ongles » en d'autres termes, ils s'y cassent les dents = ____..ils ne parviennent pas à rentrer dans cet univers poétique parce qu'ils sont trop grossiers ».___ → tout cela explique donc la présence des personnifications et autres § le monde du poète à l'intérieur de l' monde de la création poétique ___♣ Un monde caractérisé par le céleste une dimension supérieure, cf. référence aux astres halos », ____..firmament », aux cieux ».___♣ Un monde riche, abondant, où tout se mêle ______● Mélange de tous les sens, de toutes les Les choses n'ont plus une forme fixe, elles se → un monde difficile à saisir, à on trouve ... à boire et à manger » le monde de la création, quand on parvient à l'aborder, est ____..capable de nourrir celui qui le découvre, c'est-à-dire qu'il va le rassasier, le combler au sens figuré des ____..termes.═> On a donc bien affaire à un poème, malgré son apparence très prosaïque de prose, qui se trouve être, qui plus est, une sorte de mise en abyme, puisqu'il traite du processus de la création poétique et de la perception du monde poétique par les gens extérieurs. Toutefois, le travail poétique de Ponge ne suit pas tout à fait le même sens que d'autres poèmes il ne va pas chercher à exprimer certaines idées par des images poétiques, il part avant tout de l'objet et ce sont les particularités de cet objet qui l'amènent à une symbolique, il se propose de voir l'objet sous un autre jour, mais en s'imposant toujours de partir de l'objet lui-même, c'est à proprement parler » le sens figuré ne vient qu'après. Ponge donne à ce type de poème le néologisme de objeu » de objet » et jeu ».___IV Ce poème propose une autre façon de faire de la poésie on part de l'objet, et on joue sur les _______connotations sens propre et sens figuré l'objet contient les deux sens. La 1ère place est donnée à _______l'objet, pas au Le poète est différent des autres, le monde poétique est clos, difficile d'accès. Le poète est celui qui _______est capable de voir les différentes significations que peut avoir un objet.
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Harry Potter 2005 ~¤~ Académie de Poudlard ~¤~ Le ParcAtana MarkoffSerpentard Re Le potagerAtana Markoff, le Ven 7 Aoû - 1753 A la merci de la grande petite Nymphadora la jeune OdP se demandait bien quelle idée complètement décalé pouvait bien traverser son esprit ... C'est donc quelque peu réticente et inquiète qu'elle s'apprêtait à écouter l'histoire de ce Harry Cot ... Elle n'eut pas le temps de protester qu'elle se retrouvait déjà avec des haricots dans le nez ... Elle écarquilla les yeux et fut convaincu de la défiance mental de son amie. Toutefois celle-ci fut assez gentille pour les lui retirer bien vite et souffler dedans ... Atana se faisait l'effet d'être un petit monkey que sa maman dorlotait et nettoyait. A quand la recherche de poux ? Atana avait maintenant le nez qui la grattait férocement. Elle plissait le nez furieusement pour faire passer les démangeaisons alors que sa bougresse s'était déjà relever le regard fix et presque brillant comme si elle avait vu le Messy ... Atana s'en inquiéta mais préféra se pencher sur son problème nasal. Merlin mais que met Argan dans ses haricots ... ? Enfin bref après cet inter-monologue des plus intéressant Atana se rendit compte qu'elle était seule et "libre" sur le sol boueux et instable d'Argan. Elle regarda Nymphadora de haut en bas et un sourire coquin apparut sur ses lèvres ...Elle se releva et changea ses vêtements en bikini. La pluie lui fouetta les bras et la rafraichit d'un coup ce qui la fit frissonner mais ce qu'elle avait en tête était bien plus ... passionnant. Elle ne prit que quelque minutes avant de mettre à nu sa nouvelle amie ... A nu bien grand mot, mais il est vrai que le bikini ne recouvrait que peu de la peau de la jeune fille au plus grand plaisir d'Atana. Elle la trouvait même hilarante avec juste ses extrémités recouverte de boue. Tout à son spectacle elle ne vit pas Nympha' lui sauta dessus pour la rouler dans la boue. Mais quelle coquine comme quoi l'habit ne fais pas le moine ... Et surtout qu'elle tigresse, on nous avait caché que les lions étaient fougueux ! Le baiser qui lui donna Nymphadora la surpris autant qu'il lui enflamma les lèvres au sens propre du terme ... Atana se mit à tousser, décidément cette gryffondor était pleine de ressources ... Mais si elle comptait s'en sortir indemne c'était très mal connaître la jeune ex-serpy, elle la retourna pour pouvoir la dominer et pu constater que cette petite partie du jeu plaisait grandement à Nymphadora ... Bon à savoir. La jeune entreprenante s'empara une nouvelle fois des lèvres d'Atana avec cette fois-ci plus de douceur et moins de ... piquant, bien que l'effet longue durée du piment se faisait encore ressentir. Pas mal mais si la Gryffondor appelait ca un baiser on était bien loin du compte ... Tu appelles ça un baiser ? Tu es bien loin du compte ...Atana s'approcha de la jeune Gryffondor et s'empara de ses lèvres après avoir balayé son souffle dessus, elle plongea son regard dans celui de la Magenmage et s'amusa à la troubler avec son apparence de Vélane ... Mais si elle n'est pas attiré par les filles ca risquait d'être long. Elle lui donna douceur et tendresse répondant au corps pressant de Nymphadora. Elle avait perdu toute notion de froid, de lieu et de temps lorsqu'elle reçu une énième tomate dans la nuque brisant tout le charme de cet instant ... Atana se redressa toujours assise sur Nymphadora et esquiva une tomate volante qui s'applatit en magnifique "Splash" sur le visage de la jeune banquière. La jeune brune ne put s'empe^cher de rigoler mais du bien vite se rendre à l'évidence rigoler avec une tomate pas mur qui vous tombe dessus il y a mieux ...Deux baguettes partirent en direction du pauvre épouvatail qui explosa en potiron pas mure ... le tout abîma au passage les bouteilles d'alcool qu'avait apporté Nymphadora. Mais c'est que tu ramènes tes réserves en plus ! Cachottière !La jeune brune se dépêcha d'aller sauver les pauvres rescapées d'une mort certaines mais c'était sans compté sur la dextérité de la mangenmage. Atana se retrouva la tête la première dans de la crème au citron en guise de sol. Elle tenta de se redresser mais ce truc était encore plus gluant qu'un sable mouvant ... Alors ma vieille ?! T'as du mal ?Atana n'eut qu'à tendre la main pour attraper la cheville de Nympah' qui passait par là. Elle la fit chuter au sol et se jeta de tout son corps sur celui glissant de la jeune fille. Elle luttèrent ainsi en poussant des grognements des plus sexy. Les cadavres de bouteilles les regardaient en espérant l'une d'elles prennent le dessus et les portent à leurs lèvres ... Atana se retrouva sur le dos mais se remit bien vite en position de domination Avoue que tu préfères ... Pour toute réponse Nymphadora se glissa tel un poisson jusqu'au bouteille après qu'Atana les ai faites léviter au dessus de leur tête. L'ex-Serpy en prit une et la porta à ses lèvres tout en se mettant debout ... et en esquivant les "attaques" de Nymphadora Alors que fait-on pour avoir une jolie petite bouteille ? Nymphadora LupinLégendeGryffondor Re Le potagerNymphadora Lupin, le Lun 10 Aoû - 423 Etait-ce le baiser d'Atana qui la rendait ainsi ou était-elle depuis toujours, au fond d'elle, à voile et à vapeur ? Peu importe, si elle préférait les lèvres sensuelles d'une demoiselle à celles rugueuses d'un jeune homme, là pour le moment, elle comptait profiter à fond de cet instant d'intimité avec la jolie vélane. Vélane qui usait de ses charmes sur l'esprit, déjà troublé, de la jeune Magenmage. Elle aurait aimé que cela dûr encore des heures voir même des jours, mais bien sûr, c'etait sans compter sur l'intervention d'une tomate, qui sentait plus l'huitre qu'autre chose. Comme d'un commun accord, elles détruisirent en même temps le faiseur de troubles. La jeune prof avait une belle vue, car elle capta les deux ou trois bouteilles qu'avait amenées Nymphadora, elle ne comptait pas les boire avec elle, c'était prévu pour Argan. Son plan était simple, elle faisait boire le garde-chasse et, une fois saoule, elle profitait de lui, de son corps plus précisément... Qu'est-ce qu'on ne ferait pas pour ne pas terminer jeune fille. Mais... Mais... Quelle imbécile finie, elle pourrait facilement faire la même chose avec la belle Atana, depuis le temps qu'elle rêvait de prendre une douche à deux. Mais la chose était beaucoup plus difficile à faire qu'à dire et elle dut engager une lute au corps à corps, pour ne même pas récuperer une seule bouteille. Cela ne la dérangeait pas trop, elle avait eu le bonheur d'effeurer, de sa main, certains endroits d'Atana, que je ne vous décrirais pas , mais qui la rendaient de bonne humeur. Une nouvelle fois soumise, elle se mit à l'évidence elle adorait être dans cette situation. Alors que fait-on pour avoir une jolie petite bouteille ?Je pourrais faire tellement de choses que tu n'aurais pas assez d'une vie pour toutes les énumerer. Nymphadora se mit a dandiner dans la boue, effectuant une danse qu'elle pensait sexy, si vous prenez en compte le fait que la jeune banquière ne connaissait pas la définition du mot sexy, elle avait plus l'air ridicule qu'autre chose. Agacée par les sourires narquois de sa compagne, elle prit sa baguette et fit exploser la bouteille qu'Atana tenait entre ses mains. Le liquide alcoolisée se répendit sur son corps et Nymphadora s'empressa de le boire à même la source. - C'est encore meilleur ainsi, ma prit les autres bouteilles et porta le goulot à ses lèvres, faisant glisser le liquide rosâtre le long de sa gorge. Aux regards envieux d'Atana, tout le monde aurait pu se rendre compte que cette dernière avait soif. Nymphadora prit une dernière gorgé avant de poser ses lèvre sur celle de la vélane, faisant passer l'alcool d'une bouche à l'autre. Elle en profita pour l'embrasser de nouveau et se rapprocher un peu plus d'elle. C'est vrai qu'elle n'était pas vélane, mais elle espérait vraiment faire tomber Atana sous son charme. Une fois les trois/quatre dernières bouteilles enfilées à elle deux, les deux jeunes femmes étaient plus que pleines. La preuve, elles étaient couchées l'une sur l'autre et se racontaient des histoires stupides sur les membres de l'ordre ou mangemorts. C'est maintenant que tout se jouait pour Nymphadora, maintenant qu'elle se prenait un vide ou maintenant qu'elle allait passer le plus beau moment de sa vie, pour l'instant... Elle se releva, embrassa sa compagne du bas du ventre jusque dans le creux de l'oreille et lui susurra son envie - Ca te dit de prendre une douche avec moi dans la cabane du garde-chasse ? Derrière le rideau blanc et à l'abris des petits curieux, on serait libre de faire tout ce qu'on veut. Actarius BrightSerpentard Re Le potagerActarius Bright, le Mar 22 Fév - 132 Était-ce l’effet l'ennuie et la monotonie? Ou les regrets...? Ou encore la vie elle-même? Quoi qu'il en soit, le jeune homme se sentait dérouté, en proie à une profonde descente en chute libre. Qu’espérait-il exactement ? Devenir l’homme le plus puissant du monde magique ? Oh non… C’était un rêve de jeunesse qu’il avait tôt fait d’oublier. Alors ? Atteindre la perfection ? Difficile à réaliser ; et puis l’homme en son essence même n’est pas fait pour être parfait alors, quelqu’un comme lui, Actarius… Encore un rêve qu’il avait oublié bien assez vite. Ou encore ? Ou… ? Que lui restait-il de rêve, somme faite ? Pas grand-chose tout compte fait. Du moins, il n’avait plus aucun rêve, plus aucun objectif… Il ne savait plus où donner de la faisait un peu plus d’une semaine qu’il n’avait pas pied dans sa propriété, aussi bien principale que celle secondaire. Il ne s’y sentait plus chez lui, bien qu’il se soit battu des années durant pour obtenir cette aisance matérielle. Aussi avait-il déserté la maison pour se réinstaller dans sa cabane de Garde-Chasse à Poudlard, accompagné de son seul » et fidèle ami, le phénix matin-là, Perceval, pour passer son mal-être grandissant avait envisagé de s’envoler pour une longue ballade au côté de son phénix et avait finalement opté pour se défouler physiquement. Au moins il pourrait entretenir son potager laissé à l’abandon depuis quelques jours mais aussi et surtout, cela lui permettrait de penser à autre chose que les ténèbres qui s’instauraient en son être. Ne serait que quelques instants, quelques heures…S’étant donc armé d’une paire de botte de travail en caoutchouc, pratique dans son cas, Actarius s’en alla, un grand sac de cuir ovale à l’épaule, en balade » dans la forêt interdite qu’il connaissait, foi, fort bien depuis le temps qu’il s’y promenait –autant quand il fut élève que maintenant en Garde-Chasse-. Il revint sur ses pas, à peu près une heure plus tard après son départ, le sac plein de ce dont pourquoi il était allé fouiller en forêt du fumier et de la matière organique en décomposition. Évidemment, le sac plein qu’il ramena était sous scellé ; vaut mieux de fois qu’ s’adonna par la suite au désherbage de la terre, retirant, manuellement, chaque pousse de mauvaises herbes qu’il trouvait. Le temps avançait vite, le soleil continuait inlassablement sa course dans le ciel et lui, comme il l’avait espéré, se sentait bien, à travailler de ses dix doigts, comme un vulgaire » moldu. Le Garde-Chasse ne se pressait pas pour achever sa tâche, puisque l’engrais disséminé un peu partout dans le champ, il fit durer le plaisir, arrosant allègrement les plantes, fruits et légumes qui poussaient là. Mais il fallut bien s’arrêter. Le jardin n’était malheureusement pas si gigantesque que cela. Il continuait de jouer avec l’eau et il aurait tôt fait de noyer les sa paire de gant de jardinage et ses bottes en latex, il retourna à l’ombre de sa cabane et fonça directement sous la douche. Il se senti aussitôt mal de C’est quoi cette vie de Mer** ?!Oh oui, avec la blaz’attitude », même lui, jeune aristocrate qu’il était, ou du moins, qu’on lui avait appris à être, ne put s’empêcher de débiter mille et une obscénités ; tout ce qui lui passa la tête –et que nous éviterons de citer de vive écriture, pour ne pas dire, de la salle de bain, il s’en alla prendre un petit-déjeuner des plus banales après s’être brièvement chouchouté » le physique. Ce n’est parce qu’il n’allait pas bien à l’intérieur que l’extérieur devait en faire l’écho. Son petit-déjeuner bien au fond du trou » qui lui servait d’estomac –comme à tout autre-, il demanda à son phénix de le suivre et sorti alors que celui-ci se posait sur ses épaules. Il s’avança de quelques pas et laissa son regard se porter sur l’une des tours du château… Le bureau du Directeur de Poudlard, ou dans ce cas, de la Directrice. Il mourrait d’envie d’utiliser son don d’Animagus pour améliorer sa vision et observer au travers de sa fenêtre, mais il se résigna à le faire. Il était des choses auxquelles il ne fallait penser. Elle –la complicité qu’il avait eut- était de ces jeune Bright porta un dernier regard sur la cabane, son nid, et se transforma finalement en Aigle, prenant soin de ne pas regarder en direction du bureau de la Miss Skywolf. Il ne savait quand il reviendrait en ces lieux, mais il savait qu’il partait pour peu de temps. Étant donné que s’était les vacances à l’école, on ne remarquerait pas vraiment son absence.*Et si…*__________________________Suite à venir, à la Boutique d'Animaux Magiques Invité Re Le potagerInvité, le Lun 31 Oct - 1917 Allongé tout habillé sur son lit à baldaquin Selwyn se saisit de sa montre 1 heures et 37 minutes. A cette heure avancé de la nuit le château devait être endormit. Sans attendre mais dans un silence des plus complets le jeune homme se leva puis sortit de son dortoir, et de la salle commune de Serpentard. Pour l'instant il avait fait le plus simple, désormais il devait se balader et sortir du château sans se faire repérer, il y avait le concierge, les fantômes et puis les professeurs, si jamais il se faisait prendre s'en était finit de vent glacial balayait le parc de l'école, mais malgré cela Selwyn avait le sourire, il avait réussit à sortir du chateau, il ne devait qu'a la chance le fait de ne pas avoir croisé de professeurs. Si jamais il avait pensé à emmener sa cape d'invisibilité à Poudlard il n'aurait pas eu à se soucier de ça, malheureusement ladite cape était resté au manoir d' hésitation le jeune homme se dirigea vers la cabane du garde chasse de l'école, à cette heure il devait sans aucun doute serpentard se remémora ce qui l'avait conduit à cette escapade nocturne Au cours d'une leçon de potions, lui et un autre vert et argent avaient fouillé un vieux livre appartenant à Ismael. Apparemment une potion permettait de faire tomber, d'un seul coup les oreilles de la personne assez bête pour boire le breuvage. Et bien sur, ils avaient voulu reproduire cette potion, elle était d’ailleurs presque terminé, il ne manquait qu'un seul élément essentiel Du sang de coq. C'est donc pour cela que Selwyn s'approchait de la douzaine de coq qui avait élu domicile près de la cabane, la baguette dans la main droite et un poignard en argent dans la main qu'il se trouvait à moins de deux mètres des volailles Selwyn lança un "Petrificus Totalus" en informulé. Étant donné que les poulets dormaient le résultat ne fut guère impressionnant, pourtant Selwyn était sur de lui. Sans perde une seconde il se saisit d'un poulet puis lui trancha le cou, aussitôt le sans coula à flot. Selwyn fit apparaitre très rapidemen tune coupe en or ayant subit un sortilège d’extensibilité. Il trancha un deuxième cou, puis un troisième, un quatrième, un cinquième et un sixième. Sans s'attarder le jeune homme regagna son lit, Halloween promettait d'être sensationnel. Philéas ByrneSerdaigle Re Le potagerPhiléas Byrne, le Lun 5 Déc - 1528 Sa longue cape battant l'air comme un étendard indiguo, Philéas remonta le chemin vers le parc à grandes enjambées. Attendu comme le reste de ses collègues, il n'avait eu aucun mal à pénétrer l’enceinte du château. Nimbé par les froids rayons du soleil automnal, il ne cessait de ressasser les mêmes avait passé la nuit dans la salle des potions du QG de Wood Stuff, étudiant et analysant les indices avec attention et minutie. Mais, chassant toute sensation de fatigue, c'était l'image formée par la fumée qui s'échappait de la préparation à base d'eau de roche qui s'était imprimée dans son son regard incrédule, ondulait une représentation de la créature qui avait laissé un peu de salive sur les lieux du double meurtre. Le doute n'était plus permis, il s'agissait d'un basilic !Pourtant, ce n'était pas la peur d'affronter une telle créature qui habitait le coeur du sorcier aux yeux noirs. En fait, il trépignait d'impatience. Ce n'était pas tous les jours qu'un passionné de créatures magiques comme lui, avait l'occasion de rencontrer le roi des serpents ! Il avait tant de fois rêver devant les lithographies de ces monstres mythiques, que cela lui semblait presque Phil' s'efforçait de ne pas perdre de vue la gravité de la situation. Presque tous les occupants du château, de passage ou résidents, étaient susceptibles de succomber sous le pouvoir mortel du sinistre reptile. Il fallait agir vite et efficacement pour tenter de mettre tout ce beau monde à l' tâche ne s'annonçait pas des plus faciles, ils ignoraient encore où se cachait le basilic et la manière dont il était arrivé là. Nul doute qu'il n'était pas tombé du ciel et qu'une personne portait la responsabilité de ses actions. Le visage de l'animagus se renfrogna un peu. Il était agacé qu'un fanatique en mal de grandeur ne vienne encore à utiliser un si noble animal pour exécuter ses basses besognes... C'était toujours la même histoire, des tarés qui se prenaient pour ce qu'ils n'étaient pas commettaient des horreurs et c'était l’innocente créature qui payait de sa vie l'addition de leurs méfaits. * Si c'est encore une de leurs pathétiques histoires de sang pur, je gerbe direct... * songea-t-il en arrivant en vue de la cabane du garde chasse. Le sorcier au teint hâlé devait prévenir tout le monde de l'identité du coupable, chacun pourrait ainsi agir plus efficacement. Il avait laissé l'honneur à son amie et supérieure de prévenir les huiles de l'académie et du ministère. Ces personnes lui hérissant le poil, il avait préféré prévenir les sorciers qui se trouvaient sur le terrain. Parmis eux, ses collègues du ministère dont il n'en connaissait personnellement pas la moitié, sa vieille amie Emilie, son ancien condisciple avec lequel il avait récemment reprit contact et l'une des sorcières dont il était le plus était au milieu des courges, quand il s'arrêta et empoigna sa baguette. Levant celle-ci au ciel, il informula un sort qui la fit irradier d'une lumière nombreuses sphères lumineuses s'envolèrent alors pour se diriger vers la célèbre école. Tandis que certaines continuaient dans les airs, d'autres se posèrent au sol. Les patronus se changèrent alors en singes et poursuivirent leur route en courant sur la pelouse, ils recherchaient le destinataire du message dont ils allaient se faire l'écho. Une fois tous les aurors, la concierge, le garde-chasse et le professeur de potion localisés, les langurs se mirent à parler d'une voix froide et tranchante avec un léger accent Les indices ont parlé, le tueur d'Halloween est un basilic ! Agissez en conséquence !Ce message, bien que succin, avait au moins le mérite de dire l'essentiel. Chacun était assez grand pour savoir ce qu'il avait à faire, ce n'était pas à lui de donner des ordres. D'ailleurs, en parlant d'ordre, Céleste lui avait attribué un partenaire pour sa patrouille dans le parc. Mais, obnubilé par ses expertises, il ne l'avait écouter que d'une oreille et ne se souvenait plus de l'identité de son acolyte. Préférant fuir à l'étranger que d'avouer à sa supérieur qu'il ne l'avait pas écouté, il décida de commencer seul. Avec un peu de chance, il ferait équipe avec un sorcier plus attentif que lui qui saurait le retrouver. En attendant, il s'occuperait comme il pouvait. Sara ShakeSerdaigle Re Le potagerSara Shake, le Mar 6 Déc - 2141 La jeune femme n'avait pas beaucoup dormi durant la nuit précédente. Les évènements passés l'avaient beaucoup éprouvée et ce fut avec les traits tirés que la maman accueillit ses enfants au petit matin. Aaron et Léa furent particulièrement calmes et ne posèrent aucun aucune question, ce qui était bien étrange venant de leur part. D'habitude, les jumeaux n'étaient pas avares d'informations. Mais ce jour-là, ils semblèrent sentir que Sara ne serait pas très bavarde. Elle leur fit cependant tous les câlins et tous les bisous auxquels ils avaient droit, un sourire sincère sur les lèvres. N'ayant avalé qu'un jus d'orange et quelques céréales, la jeune maman partit le ventre léger. Toujours silencieux, les jumeaux lui dirent au revoir et retournèrent à leur petit déjeuner, en attendant que leur père aille les conduire à l'école. Sara se rendait justement dans une école, mais pas une école comme les autres. L'académie de sorcellerie d'Angleterre, Poudlard. Bien qu'elle s'y fut rendue quelques heures plus tôt, elle devait y retourner afin d'y effectuer une espèce de patrouille en compagnie d'un Auror. Avant de retourner chez elle, la Magenmage s'était entretenue avec la Chef des protecteurs du Bien, Céleste. Elle avait désiré à lui parler d'une chose importante, et malgré plusieurs soupçons et des regards interrogateurs, l'Auror avait accepté que Sara se mette à son service avant d'envisager quoi que ce soit d'officiel. D'abord, elle devait en parler avec ses acolytes. Ensuite, seul l'avenir pouvait le prédire. En tout cas, la Mangemorte qui n'en serait plus une dans quelques temps, était bien heureuse que la jeune femme lui fasse confiance. La métamorphomage n'était pas une menteuse et ses envies de repentance étaient tout à fait ne fit pas attention et manqua de se prendre la tête la première dans le portail de l'école. Perdue dans ses pensées positives malgré l'urgence de la situation, la belle blonde fixait les barreaux qui se trouvaient à quelques centimètres de son visage. Se traitant de tête de lune, elle attendit que quelqu'un vienne lui ouvrir. Céleste avait prévenu que ses Aurors viendraient pour patrouiller et que la jeune femme en accompagnerait un dans son tour de vigile. Au bout d'un moment, Sara entra dans l'enceinte de Poudlard et son regard fut attiré par des boules lumineuses au loin. Elles ressemblaient à des Patronus lancés tels des fusées de feux d'artifice. Non intriguée, la jeune femme continua sa route. Elle devait retrouver l'Auror aux alentours de la Cabane du Garde-Chasse. Cet Auror n'était autre que celui qui accompagnait Céleste hier soir, et qui avait fait des prélèvements dans la marre de sang. Il était rentré au Ministère, ou au Quartier Général des Aurors, afin de faire des analyses. Sara était curieuse de savoir s'il avait trouvé quelque chose à propos du Basilic qui rampait dans les tuyaux de l'école. En tout cas, elle ne devait pas se trahir. Elle se demandait si la Chef des Aurors avaient parlé à ses acolytes de sa situation délicate, malgré sa promesse de ne rien dire tant que rien ne serait officiel. Haussant les épaules mentalement, la métamorphomage se retrouva bien vite près du jardin potager du Garde-Chasse. Il n'y avait aucune trace de l'Auror censé être son compagnon de patrouille. Ou bien il n'était pas encore là, ou bien il avait déjà commencé sans elle. Faisait la moue, elle fit plusieurs pas et scruta l'horizon pour tenter d'apercevoir une silhouette. Avec le soleil d'automne dans les yeux, Sara dut mettre sa main en visière pour espérer voir quelque chose. Il lui semblait distinguer une forme au loin. Comme cela valait mieux qu'autre chose, elle se dirigea vers sa destination. Quelques minutes plus tard, elle discerna mieux les traits de la personne qui marchait. C'était bien l'Auror qui avait accompagné sa Chef la veille. Quel était son nom, déjà ? Ah, Philéas ! Donc, celui-ci ne l'avait pas attendue. Si la jeune femme s'était laissée aller à ses anciennes pulsions, il serait déjà cloué à l'un des arbres de la Forêt Interdite par les mains, ses pieds à plusieurs centimètres du sol, une lame affûtée jouant avec sa peau. Mais ça, c'était il y a fort longtemps. Esquissant un sourire malgré tout, songeant à cette époque révolue, elle s'avança plus vite vers lui et le salua, légèrement embarrassée par ses pensées précédentes. Bonjour... Tu es Philéas, c'est bien ça ? Sara Shake... Céleste m'a dit que je devais patrouiller avec toi... »Une demi-seconde plus tard, elle se demanda si le tutoiement était le bienvenu, étant donné qu'ils ne se connaissaient pas. Mais lui étant plus jeune, la jeune femme se dit que cela n'était pas bien grave... sauf si ce jeune homme était porté sur l'étiquette ! Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Sam 12 Jan - 1505 Pv Andrew CollinsDu calme, c'était tout ce que désirait Kyara. Il fallait absolument qu'elle s'isole avant de commettre un meurtre qu'elle pourrait regretter après coup. Les cheveux pleins d'une substance visqueuse verte dans les cheveux, elle traversait les couloirs rapidement d'un pas destructeur. Des deuxièmes années de Serpentard avaient eu "l'excellente idée" de faire une blague à la première personne rentrant dans la salle commune. Le repas du midi avait à peine commencer que Zoey sa cousine était venue lui rendre le livre qu'elle lui avait prêté. C'était le livre préféré de Kyara, son père lui avait offert quand elle était petite. C'était un livre de contes, mais pas pour enfant, pour adulte. Les monstres et la magie noire étaient donc de la partie, pourtant la brune n'avait jamais eu peur en lisant ce livre, cela l'avait même fait rire à certains donc à ce livre comme à la prunelle de ses yeux, la serpentard avait décidé de le rapporter directement dans son dortoir afin de ne pas le tacher lors du repas. Laissant ses camarades, elle fila donc toute contente quand le drame arriva, alors qu'elle passait l'entrée de la salle commune, un ballon remplit de la fameuse substance lui tomba dessus l'éclaboussant de la tête aux pieds. En temps normal Kyara aurait rigolé à la blague. Quand elle était jeune c'était une vraie délinquante donc il lui en fallait beaucoup pour l'atteindre. Elle était même en train de commencer à sourire quand Kyara se rendit compte avec horreur que son livre avait été taché. Avec horreur elle s'était décomposé quand des rires étouffées brisèrent le silence qui régnait dans la pièce. Relevant la tête, une lueur dangereuse dans les yeux, la brune repéra en quelques secondes deux têtes brunes qui se cachaient derrière les la tête de Kyara ils comprirent bien vite qu'ils allaient le regretter et ils voulurent mettre les voiles dans leurs dortoirs, malheureusement pour eux, la brune fut plus rapide. En quelques enjambées, elle le rejoignit et attrapa le premier par le col avant de le plaquer contre le mur. Sortant sa baguette, elle lui enfonçant dans le cou alors que le malheureux s'était instantanément liquéfié et à présent trembler comme une feuille. Ils restèrent ainsi pendant une bonne minute avant que Kyara n'inspire profondément. Elle avait promis à ses cousines d'être sage, de ne plus s'attirer des ennuis, aussi avec un effort considérable, elle relâcha l'élève qui tomba à genoux sur le sol. Se tournant vers l'autre serpentard qui était figé sur place, la brune lui fit signe de mettre les voiles. Sursautant, il fila alors en quatrième vitesse suivi de près par son ami qui avait retrouvé aussi ses pinçant l'arête du nez, elle avait alors mis les voiles pour se calmer. C'était ainsi qu'elle se retrouvait dans les couloirs, toute sale et en colère. Sortant du château, elle savait où aller pour être au calme. Le potager. Enfin potager était un bien grand mot vu qu'il était à l'abandon depuis la saint glinglin. Peu de personnes allaient la-bas à cause de la végétation, c'était donc l'endroit parfait. Tournant dans un petit sentier, elle arriva afin à son lieu de paradis, enfin façon de parler. Allant vers la cabane, la brune l'escalada afin de se trouver sur le toit. Là, elle regarda le livre qui était dans un piteux état. Le posant à coter d'elle, Kyara se rendit alors compte qu'elle avait "semer", on pouvait la suivre à la trace vu que le machin visqueux avait coulé tout le long de son chemin. Super. Poussant un grand soupir, elle s'allongea sur le dos et ignorant le froid entama des exercices de respirations pour se calmer. Il aurait fallu qu'elle se débarrasse de cette substance, mais elle n'avait pas la foie, avec un peu de chance ça lui ferait un soin du corps tient ! Invité Re Le potagerInvité, le Dim 13 Jan - 1138 N'ayant pas faim, Andrew se balladait dans les couloirs du château qui étaient entièrement vide. Tous les élèves se trouvaient à la Grande Salle, le déjeuné avait commencé il y a quelques minutes. Cependant, le Poufsouffle s'ennuyait depuis quelques temps, il décrochait en cours, passer des heures dans la Salle Commune à ne rien faire comme autrefois ne l'amusait plus et cela faisait un bail qu'il n'avait pas vu sa petite amie. De plus, avant les vacances de noêl, le jeune sorcier avait fait plusieurs rencontres qui s'annonçaient plutôt bien. En effet, celle-ci lui permettait d'élargir son cercle d'amis étant donné qu'il n'en avait pas beaucoup. Mais il faut avouer qu'il aurat aimé revoir une jeune femme qu'il avait rencontré dans la forêt interdite, son nom était Kyara lui sembalit-il. Il voulait la revoir déjà parce qu'ils étaient parti sur de mauvaise base, il lui avait menti sur nom, ils s'étaient plus ou moins bagarrer à leur recontre enfin bon ce n'était pas une rencontre ordinaire. Mais elle avait l'air vraiment sympa et c'était le genre d'amis qu'Andrew aimait avoir et il tenait réellement à s'excuser suite à la dernière fois. A chaque fois qu'il allait en cours, il essayait de la chercher du regard dans les couloirs maisi l y avait tellement de monde qu'il était impossible de chercher quelqu'un jeune homme marchait, tout en étant dans ses pensées, lorsqu'il entendit des bruits de pas furieux derrière lui. C'était sans doute le concierge qui accusait pour la énième fois Andrew d'un acte qu'il n'aurait pas commis. Le brun continua à marcher, ignorant les bruits de pas lorsque ceux-ci se rapprochèrent de plus en plus et finirent même par le dépasser. Ce n'était pas le concierge mais une élève qui était furieuse apparemment et il ne fut pas difficile à comprendre pourquoi elle était recouverte d'une substance visqueuse verte. Bien sur, la sorcière ne voudrait surement pas qu'on vienne lui parler ou même qu'on lui vienne en aide mais Andrew se sentait obligé de le faire. D'ailleurs, cette histoire de substance visqueuse était une mode en ce moment chez les élèves de Poudlard, toutes maisons confondues. En effet, un cas semblable était arrivé avant hier chez les Poufsouffle. Suivant alors la jeune femme, il remarqua que la silhouette de la sorcière lui était famlière mais ceci était normal, il croisait des tonnes et des tonnes de sorciers et sorcières par jour. La victime de plaisantins n'avait certainement pas fait attention à Andrew mais celui-ci était determiné pour lui venir en ide sachant qu'a la première munutes où elle le verrait, elle l'enverrait chier mais il avait l'habitude, c'était presque ce qui lui était arrivé quand il avait rencontré brune sortit du château et sembalit se diriger vers le potager. C'était l'endroit parfait pour qu'Andrew puisse discuté tranquillement, afin qu'ils puissent retrouver les deux coupables, si elle le voulait bien. Ilsa marche, et partit à son tour au potager, tournant dans le petit sentier. Mais en Arrivant sur place il n'y avait plus personnes. Cependant, il vit une cabane un peu plus loin et des traves de substance était tombée au sol ce qui pouvait conduire directement Andrew à la jeune femme. Cela lui rapellait un compte moldu "Le Petit Poucet". La cabane n'était pas très haute et le pouffy devina que la brune s'était posée la haut, il grimpa alors ...-"Kyara ??!!!" S'exclama Andrew, très étonné. Comment une élève brillante, ne se laissant as faire, avait pu se faire bernner par des plaisantins ? Sachant qu'elle était vraiment furieuse, et il savait que lorsqu'elle était en colère, il fallait se mettre à l'abris mais le Pouffy n'avait pas peur de Kyara et il voulait se conduire en ami. "C'est moi, Andrew, tu te souviens ?" Demanda t-il même si ce n'était pas vraiment le se rapprocha de Kyara et s'assis à côté d'elle. Voulant la rassuré il fit un geste affectueux en esperant qu'elle le prendrait bien il lui prit la main, la serra fort. "Je suis désolé de ce qui t'es arrivée, tu veux en parler ?" Dit-il d'une voix douce et calme. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Lun 14 Jan - 1849 Des crétins. La génération future était composé de crétin. Sérieux ils n'auraient pas pu attendre un jour ? Comme ça son livre n'aurait pas été tacher. C'était réparable bien sur, mais quand même elle l'avait en travers. Poussant un nouveau soupir, elle garda les yeux fermer se demandant si elle allait s'endormir. Elle n'avait pas spécialement sommeil et il faisait pas super chaud, mais elle avait la faculté de pouvoir s'endormir où elle le voulait sans soucis. Enfin pour pouvoir dormir il lui faudrait quand même un sac de couchage, où une grosse couette. Quitte à choisir elle préférait ne pas finir comme un glaçon ... Au moins elle était au calme avec elle-même. Ses nerfs n'allaient pas tarder à se calmer et lorsque ça sera chose faite, elle pourra retourner au château et reprendre le cours de sa vie comme si de rien n' Kyara ??!!!Et slurk ... la tranquillité aura été de courte durée ... Ouvrant les yeux, elle se redressa et découvrit Andrew qui se tenait devant elle. C'était la deuxième fois qu'ils se voyaient, la première rencontre ne c'était pas super bien passer, surtout au début. Youpi ... quitte à choisir, Kyara aurait préféré voir Axelle où Zoey, logique en soit, la famille passait avant tout et puis ses cousines étaient toujours au top quand la brune n'allait pas C'est moi, Andrew, tu te souviens ?Oh oui qu'elle s'en souvenait, elle n'avait surtout pas oublié le rhume qu'elle avait traîné une bonne semaine après la petite escapade nocturne dans la foret. Gardant le silence, elle le regarda s'approcher et s'asseoir à ses côtés. Il fit alors un geste qui prit au dépourvu la serpentard. Il lui attrapa la main et la serra fort tout en parlant d'une voix Je suis désolé de ce qui t'es arrivée, tu veux en parler ?Haussant un sourcil, Kyara se dégagea doucement, retrouvant ainsi le contrôle de sa main et recula un peu afin d'avoir Andrew dans son champ de vision. Il croyait donc qu'elle n'allait pas bien car elle s'était faite peinturer ? C'était pas la mort, le seul truc qui avait énerver Kyara c'était que le cadeau de son père avait été touché. Elle avait déjà peu de choses lui rappelant des souvenirs, alors voir un cadeau être abîmer ça lui minait le moral. Ramenant une meche de cheveux derrière son oreille, elle répondit alors au Salut Andrew, oui je me souviens de toi t'inquiète et t'as pas à être désolé. C'est juste qu'un peu de truc gluant et vert, après une bonne douche ça ira légèrement, elle rabattue alors ses jambes sur elle et pendant quelques secondes garda le silence avant de reprendre la parole D'ailleurs, qu'est ce que tu fais ici ? T'as pas cours ? Invité Re Le potagerInvité, le Jeu 17 Jan - 1122 Lorsqu 'Andrew lui prit la main, Kyara se dégagea doucement, reprit le contrôle de sa main et recula un peu, sans doute pour bien avoir le Poufsouffle dans son champ de vision. Puis ils ne se connaissaient pas vraiment, ce geste d'affection qu'avait fait le brun était donc Kyara n'avait pas l'air trop triste ni trop en colère pour la farce dont elle avait été victime. Elle avait plus l'air en colère pour autre chose, d'ailleurs le Pouffy pu apercevoir à côté de la jeune Serpentard, un livre qui était dans un piteux état. Andrew se demandait bien ce que pouvait être ce livre mais n'osa pas y toucher car lorsque la brune ce mettait en colère, elle ne faisait pas jeune sorcière, rabattue une mèche derrière ses oreilles et répondit alors au jeune pouffy - Salut Andrew, oui je me souviens de toi t'inquiète et t'as pas à être désolé. C'est juste qu'un peu de truc gluant et vert, après une bonne douche ça ira mieux. Dit-en en souriant légèrement, sourire qu'Andrew lui le Poufsouffle n'y croyait à moitié. Non pas qu'il n'avait pas confiance en Kyara, là n'était pas la question. Même s'il la connaissait depuis peu de temps, il savait que la brune n'était pas du genre à mentir comme lui l'avait fait au moment de leur première rencontre. Ce qui l'intriguait c'est que lorsqu'elle était passée devant lui dans les couloirs, la Serpentard paraissait furieuse et d'après ses dires, ce truc gluant et vert n'était pas très grave. Non, le sorcier était certain qu'elle était triste par rapport à ce livre qui avait été tout abîmé. C'était certainement un cadeau ou quelque chose qui lui tenait vraiment à assit non loin de Kyara, il se rapprocha un peu plus d'elle mais pas trop afin qu'elle ne soit pas gênée, et s'apprêta à parler lorsqu'elle ajouta - D'ailleurs, qu'est ce que tu fais ici ? T'as pas cours ? Lui demanda t-elle, toute jeune Poufsouffle lui lança à nouveau un sourire, plia les jambes et posa les coudes sur ses genoux, prit un grand souffle et dévoila -"A vrai dire, je me baladais dans les couloirs du château car je n'avais pas faim et je m'ennuyais, ça fait quelques temps que je m'ennuie je ne sais pas ce qu'il m'arrive c'est comme si j'étais blasé enfin bon, je te passe les détails." Dit-il avant de reprendre "Et tout à coup, je t'ai vu passer devant moi, furieuse, mais je ne savais pas que c'était toi, je pensais que c'était une autre élève et je t'ai alors suivi car je voulais te venir en aide, comprend moi, je pensais que tu était réellement furieuse contre deux farceurs et quand je suis arrivé ici, j'ai eu la grande stupéfaction de te voir. Ce qui ne m'a pas vraiment déplu car depuis notre aventure dans la forêt, je cherchais absolument à te revoir, j'avais envie de mieux te connaître." Termina il pointa son index sur le livre de Kyara en haussant les sourcils. Toutefois, avant de lui laisser la paroles, il enchaîna -"Mais à mon avis, tu n'était pas furieuse contre ce qu'on t'avait fait mais plutôt contre ce qu'ils lui ont fait" toujours en montrant le livre du doigt"Tu sais, je ne suis pas dupe et je sais qu'il doit énormément compter pour toi, qu'est-ce que sait ?" Demanda t-il d'une voix posée, plongeant dans ses pensées, Andrew pensait connaître la raison de son décrochage sur ce château qu'il aimait temps. En effet, si le Pouffy se sentait mal en ce moment, qu'il était blasé, qu'il s'ennuyait à Poudlard c'est parce qu'il n'arrivait toujurs pas digéré la mort de ses parents. En effet, cette histoire pour lui c'était du passé, cette histoire était enterrée, le Pouffy était passé à autre chose. Il était persuadé qu'ils étaient morts etjusqu'au jour où durant les vacances, Andrew cru apercevoir son père à Pré-Au-Lard et si ce n'était pas lui, alors c'était un homme qui lui ressemblait étrangement. Cela avait donc fait déterrer cette histoire et depuis quelques temps, il avait tout un tas de flash black. Andrew remettait désormais la disparition de ses parents en questions Sont-ils réellement mort ? Malheureusement il ne pourra jamais répondre à cette question même s'il espérait secrètement que la réponse soit non. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Jeu 17 Jan - 1513 Andrew se rapprocha de Kyara encore un peu malgré le fait qu'elle se soit déplacé. Prenant sur elle, elle n'eut aucune réaction et observa le ciel attendant la réponse du jeune homme. La Française aimait beaucoup tout ce qui touché à l'astronomie, le ciel, les étoiles, les planètes et tout et tout. Malheureusement il n'y avait pas de cours portant sur le sujet dispenser à Poudlard, sinon elle se serait inscrite directement. Détachant à contre coeur son regard, elle se re-concentra sur A vrai dire, je me baladais dans les couloirs du château car je n'avais pas faim et je m'ennuyais, ça fait quelques temps que je m'ennuie je ne sais pas ce qu'il m'arrive c'est comme si j'étais blasé enfin bon, je te passe les détails. Et tout à coup, je t'ai vu passer devant moi, furieuse, mais je ne savais pas que c'était toi, je pensais que c'était une autre élève et je t'ai alors suivi car je voulais te venir en aide, comprend moi, je pensais que tu était réellement furieuse contre deux farceurs et quand je suis arrivé ici, j'ai eu la grande stupéfaction de te voir. Ce qui ne m'a pas vraiment déplu car depuis notre aventure dans la forêt, je cherchais absolument à te revoir, j'avais envie de mieux te beh, ça s'était de l'explication de fou. Apparemment Andrew aimait aider les gens et il avait envie eu de faire sa bonne action de la journée. Kyara aurait été bien seule, mais bon vu qu'il était là autant faire avec. D'ailleurs une question taraudait la brune, pourquoi est-ce qu'Andrew voulait apprendre à mieux la connaitre ? Comme elle s'était fait la remarque un peu plus tôt, leur première rencontre ne s'était pas super bien passée. Elle s'attendait même à ne plus le revoir, comme quoi il ne fallait pas vendre la peau de l'hippogriffe sans l'avoir Mais à mon avis, tu n'était pas furieuse contre ce qu'on t'avait fait mais plutôt contre ce qu'ils lui ont fait. Tu sais, je ne suis pas dupe et je sais qu'il doit énormément compter pour toi, qu'est-ce que c'est ?Tout en parlant il avait pointé du doigt le livre de la jeune femme. Cela lui tira un petit sourire, malgré le fait qu'il soit à Poufsouffle et que cette maison ne soit pas super bien vu chez les serpentard bon comme toutes les autres maisons, Andrew avait oublié d'être bête. Bon en même temps le livre se trouvait juste à coter d'elle, mais tout le monde n'aurait pas fait le rapprochement. Aussi Kyara décida d'être franche avec le jeune Tu as vu juste, je suis en colère car ce livre a été sali. C'est mon père qui me l'a offert quand j'étais enfant et j'y tiens beaucoup ... En temps normal j'aurais bien pris la blague, mais là ça n'est pas passer. Je n'aime pas que les cadeaux qu'on m'offre soit dégradé où autre ... Enfin ce qui est fait est fait, je le nettoierais et il sera de nouveau comme un sous neuf ! Tu es né dans les environs toi ?Dernière édition par Kyara Blanchet le Sam 19 Jan - 1610, édité 1 fois Invité Re Le potagerInvité, le Sam 19 Jan - 1425 Kyara décida d'être franche avec le jeune homme et lui avoua donc qu'elle était en colère parce que ce livre avait été sali, c'était son frère qui le lui avait offert lorsqu'elle était enfant. Elle y tenait énormément. Elle dit également qu'en général, elle aurait bien prit la blague mais là c'était la goutte d'eau qui faisait déborder le vase. Tout comme Andrew, elle n'aime pas lorsque les cadeaux qu'on lui offre soit abîmé. Mais comme elle avait dit, ce qui était fait était fait. Puis sans s'y attendre, Kyara passa du coq à l'âne, c'est-à-dire qu'elle changea totalement de conversation en lui demandant s'il était né dans les qui depuis le début regardais Kyara dans les yeux lorsqu'elle parlait, redressa sa tête et regarda l'horizon. Cette simple question avait évoqué en lui toutes sortes de souvenirs rare qu'ils partageaient avec sa famille. Notamment le jour où lui et ses parents apprirent que ses deux frères jumeaux, Mark et John, étaient des cracmols où encore la fois ou ils avaient tous campés dans un forêt française, le Pouffy était jeune, très jeune à cette époque. Mais le souvenir le plus marquant était celui où il fut contraint de fuir de chez lui car un groupe de cinq sorciers pénétrèrent dans leurs maisons. Lui et ses deux frères quittèrent le coquons familiales à la demande des parents. Mais entre-temps, Mark et John disparurent également et le jeune sorcier du alors apprendre à vivre seul. Mais six mois après leurs disparitions il put se faire héberger et le jour de ses 11 ans, il pu enfin rentrer à Poudlard. C'était une triste période de sa faisait maintenant un long moment qu'il n'avait pas prit le temps de penser à eux même si durant les vacances il vit un homme ressemblant à son père. La question de la jeune Serpentard avait donc chamboulé le jeune homme, cela l'avait émue, cela l'avait rendu plus ou moins triste mais Kyara n'en était pas responsable, elle ne pouvait pas le savoir. le brun avait les larmes aux yeux en repensant à sa famille. Une de ces jours, il fallait qu'il retourne dans le village où il vivait étant enfant, mais le garçon ne connaissait pas le village en question, ça remontait à trop suis né en Angleterre dans un village ... dont je ne connais pas le nom. J'ai ... j'ai perdu ma famille et j'ai du m'enfuir à l'âge de 9 ans ... Je ... Ils me manquent tellement !" Dit-il, laissant d'autres larmes couler sur ses avait honte de faire la mauviette devant elle, qu'est-ce qu'elle allait en penser ? Que c'était une chochotte, qu'il ne savait pas se tenir. Et puis son histoire n'intéresserait peut-être pas Kyara alors pourquoi ne pas avoir tout simplement dis "Je suis né en Angleterre", non il fallait qu'il en Poufsouffle se ressaisit , essuya de nouveau ses larmes et évita de penser à ce tragique moment de sa moi, je ... je suis désolé" Dit-il en souriant légèrement. "& toi, tu es née où ?" Demanda t-il ensuite à la jolie brune. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Mar 22 Jan - 1904 Kyara aimait bien passer du coq à l'âne quand elle parlait. En fait elle exprimait souvent la suite de ce qu'elle pensait d'un coup, où bien sans prévenir elle revenait sur un sujet évoqué quelques heures plus tôt comme s'il n'y avait jamais eu de coupure. Les gens avaient parfois du mal à la suivre et elle ne comprenait pas toujours pourquoi. Pour Kyara c'était tout à fait normal de faire ainsi, bien qu'elle tente de faire en sorte que cela arrive le moins souvent Je suis né en Angleterre dans un village ... dont je ne connais pas le nom. J'ai ... j'ai perdu ma famille et j'ai du m'enfuir à l'âge de 9 ans ... Je ... Ils me manquent tellement ! Dit-il tout en oh oh temps mort !! Il faisait quoi là ?! Surprise, Kyara se recula un peu. Elle n'était pas habituée à voir un garçon pleurer. Normalement c'était les filles qui pleuraient pas l'inverse ! Dans le cas de la brune, elle pleurait que quand c'était vraiment poignant pour elle. Il lui arrivait souvent d'être triste, mais il lui en fallait pas mal pour pleurer. Par exemple voir la personne qui la formée et avec qui elle a passé de bons moments mourir devant elle sans rien pouvoir faire ... Là Kyara avait pleuré. N'étant pas très douée pour réconforter les gens, elle attendit en silence que le jeune homme se calme. Cela faisait du bien de pleurer et certains n'avaient surtout pas besoin qu'on les Excuse moi, je ... je suis désolé Et toi, tu es née où ?En entendant ses paroles, la brune leva les yeux au ciel. Il n'avait pas à s'excuser, même si elle avait été surprise, on pouvait tous craquer à un moment où à l'autre. Pas besoin de s'excuser donc aux yeux de Kyara. Se grattant la tête, elle haussa alors les épaules avant de Tu n'as pas à t'excuser, tu peux pleurer si tu en as envie, je ne vais pas te juger pour ça. Sinon pour ma part je suis née en France. J'ai eu la chance d'apprendre tôt l'anglais ce qui fait que quand je suis venue ici j'ai su me dépatouiller. Sinon ça va les cours ? T'es en quelle année déjà ? Invité Re Le potagerInvité, le Dim 3 Fév - 1655 Kyara leva les yeux au ciel, peut-être que le Poufsouffle l'éxaspérait. Le jeune sorcier se sentit alors gêné, il était vraiment maladroit, il fallait tous jours qu'il fasse un truc au moment où il ne fallait pas et le pire c'est qu'il ne le faisait pas exprès. Andrew avait beaucoup de qualité mais en ce qui concernait la maladresse, il était le Pouffy s'essuya les yeux, encore humide, attendant ce que la belle brune allait bien pouvoir dire. Celle-ci haussa les épaules puis lui dit qu'il n'avait aucunement besoin de s'excuser et qu'elle n'allait pas le juger parce qu'il pleurait, après tout c'était humain, tout le monde pouvait craquer à un moment donné et en l’occurrence, il s'agissait de la disparition de sa famille, ce n'était pas ajouta ensuite qu'elle était né en France et ayant eu la chance d'apprendre l'anglais relativement tôt, en arrivant ici elle à su se débrouiller. Puis passant de nouveau du coq à l'âne, elle changea de sujet et lui demanda si les cours sa allait et demanda également en quelle année était t-il car la Serpentard ne s'en souvenait devait maintenant faire une bonne heure que les deux élèves étaient là mais Andrew ne s'ennuyait pas, cela lui fit plaisir d'apprendre à connaître Kyara suita à leur première rencontre qui s'était mal déroulée. Il pourrait rester encore ici longtemps, cependant le temps commençait à se rafraîchir et le ciel devenait gris, néanmoins Andrew resterait tout de même s'était habitué à voir Kya pleine de substance ... bizarre et collante mais de temps en temps il voulut pouffer de rire, il essayait de se retenir quand même, elle devait en avoir assez comme sa passa la main dans ses cheveux et répondit -"Tu es née en France ?! Tu a beaucoup de chance, j'y suis allé une fois et j'ai beaucoup aimé ..." Dit-il avec sourire. "J'aime beaucoup la France" Ajouta t-il en français, avec un accent anglais. "Moi je sais parler un peu français, mais ça s'arrête là."Le Pouffy se râcla la gorge puis reprit " Je suis en sixième année, tout comme toi non ?Les cours ça peut aller, je suis juste un peu perdu en potion, par contre en DFCFM je gère la fougère ! Et toi, ça va ?"Andrew regarda ensuite le ciel qui s'assombrissait au fur et à mesure qu'ils parlaient, mais ceci était due à cause de la tempête qui arrivait car la montre d'Andrew n'indiquait que d'ailleurs en observant sa montre et précisément la date qu'elle affiche juste au dessus du cadran qu'Andrew remarqua que ce jour était important à ses yeux, très important puisque c'était le jour de son anniversaire ! Comment avait t-il pu oublier ?! Aujourd'hui Andrew était majeur. Vu que le Pouffy était né en début d'année, normal qu'il est 17 ans tout en étant en sixième Pouffy n'en revenait pas ! Et cette année encore, sa famille n'était pas là pour fêter ça, il se retrouvait de nouveau seul et ça depuis maintenant depuis 7 ans reviens pas, c'est mon anniversaire !" S'exclama t-il à haute voix. Kyara BlanchetLégendeSerpentard Re Le potagerKyara Blanchet, le Mar 5 Fév - 2055 Kyara avait de la chance, la substance dont elle était imprégnée ne dégageait aucune odeur, sinon elle aurait surement empestée comme pas possible. Comme quoi cette journée n'était pas complètement nulle. Youhouu. Fixant son bras, elle constata que ça commençait à sécher. Super au moins elle n'aurait pas à frotter comme une malade, avec un peu de chance ça s'effriterait tout seul et douche normal suffirait. La brune l'espérait fortement. De toutes les manières, elle verrait bien plus Tu es née en France ?! Tu a beaucoup de chance, j'y suis allé une fois et j'ai beaucoup aimé ... J'aime beaucoup la France. Moi je sais parler un peu français, mais ça s'arrête brune lâcha un sourire quand Andrew accentua son accent sur les derniers mots. En tous les cas, elle était bien contente d'avoir appris tôt l'anglais. On entendant encore son accent Français, mais le fait de vivre entourée de personnes ne parlant pas la même langue l'avait fait sacrement progresser. Ses cours d'Anglais lui avaient juste donner quelques tuyaux, elle avait du après se faire sur le tas, d'où le fait que sa première année elle avait plus écouté que parler. Au final ce trait caractériel lui était Je suis en sixième année, tout comme toi non ? Les cours ça peut aller, je suis juste un peu perdu en potion, par contre en DFCFM je gère la fougère ! Et toi, ça va ?Kyara aimait bien de la potion, c'était une de ses matières préférées avec les défenses contre les forces du mal. Les deux matières où elle se débrouillait le mieux en gros. En plus au niveau des professeurs elle ne pouvait pas rêver mieux donc c'était tout benef pour elle ! Par contre Andrew la rajeunissait, la Serpentard n'était pas en sixième, mais en septième année. C'était sa dernière année à Poudlard. Ca sonnait bizarre quand Kyara se le disait. Elle ne se voyait pas partir de l'école se retrouvant toute seule et perdant ses cousines. Non pas que la solitude la dérangeait, mais en sept ans elle avait eu le temps de prendre ses marques, d'avoir ses petites habitudes dans le château. A la fin de l'année elle devrait pourtant partir et elle n'en avait pas du tout l'envie ... Peut-être qu'elle ferait exprès de rater ses examens juste pour repiquer une année tient ! C'était à voir ...- J'en reviens pas, c'est mon anniversaire !Son anniversaire ? C'était son anniversaire et il ne s'en rendait compte que maintenant ?! Cela ne devait pas être un évènement très important pour lui alors ... Pendant quelques secondes Kyara hésita sur la suite des choses. Devait-elle lui souhaiter son anniversaire où pas ? Du fait qu'elle était polie elle décida que lui, comme ça au moins une personne lui aura souhaiter son anniversaire en cette journée !- C'est bien de t'en apercevoir maintenant et bien joyeux anniversaire à toi ! Ca te fait quel âge alors ? Tu t'es trompé je suis en dernière année pour ma part et les cours ça va. Je n'ai pas le temps de suivre tous ceux proposer dans le château, mais j'en ai quand même pas mal sur mon emploi du temps. Tu verras l'an prochain ça se corsera encore un peu plus ! En parlant de ça je pense que je ne vais pas traîner encore bien longtemps ... Faudrait que je me douche et que je me mette au boulot ... Invité Re Le potagerInvité, le Mar 12 Fév - 1200 - C'est bien de t'en apercevoir maintenant et bien joyeux anniversaire à toi ! Ca te fait quel âge alors ? Tu t'es trompé je suis en dernière année pour ma part et les cours ça va. Je n'ai pas le temps de suivre tous ceux proposer dans le château, mais j'en ai quand même pas mal sur mon emploi du temps. Tu verras l'an prochain ça se corsera encore un peu plus ! En parlant de ça je pense que je ne vais pas traîner encore bien longtemps ... Faudrait que je me douche et que je me mette au boulot ...S'exclama alors la jeune Serpentard. En effet, son anniversaire n'était pas vraiment important à ses yeux, car c'est le jour de ses 9 ans que ses parents ont disparus et cela créait parfois quelques malaises en y repensant. Et puis, durant toutes ces années Andrew à toujours préféré être un solitaire et n'a donc jamais eu vraiment d'amis jusqu'a son début de sixième année qui touchait à sa fin. Mais jamais personnes ne le lui avait souhaité. Et oui, le Poufsouffle allait entrer en septième année ! Cela lui faisait bizarre d'y penser car même s'il n'avait pas eu autant d'amis que maintenant, il parlait tout de même à des élèves même s'il n'était pas très proches des autres, néanmoins il avait vécu une longue période de sa vie ici et tout quitter comme ça, cela était étrange. Tout comme Kyara, le jeune sorcier ne pouvait pas suivre tous les cours du château, il y en avait beaucoup trop mais il en suivait un certain nombre. Et d'après les dires de la jeune femme, lorsqu'il entrera en dernière année ça se corsera encore un peu plus ! Cela ne lui fit même pas peur d'ailleurs puisque sa devise était d'aller tout jours plus loin, d'aller au délà de ces capacités, de ces forces et les nouvelles choses, les nouvelles sensations et les nouvelles aventures le motivait au aussi n'allait pas tarder à partir même s'il y a quelques secondes il pensait le contraire. Le Poufsouffle frotta son jean, se leva et tendit sa main à Kyara afin de l'aider à se te remercie pour mon anniversaire, très peu de gens me l'ont souhaités depuis mon arrivée à Poudlard. D'ailleurs si j'ai .. j'ai oublié que c'était mon anniversaire c'est parce que ce jour-là mes parents ont disparus, le jour de mes 9 ans et j'évite d'y penser et j'oublie donc. Mais aujourd'hui je suis majeur et c'est un jour important, je devrais aller fêter ça mais ... je ne sais pas avec qui." Dit-il avec une amertume de tristesse. "Les cours et tout ça en septième année ça se corsera tu m'a dis mais je n'en ai pas peur, ça sera comme une nouvelle aventure pour moi et j'essayerais de me prouver que je peux aller encore plus loin !" Ajouta le jeune ado avec grand sourire. "Moi aussi je vais rentrer, faisons le chemin ensemble !" Finit-il par deux élèves continuèrent donc à bavarder jusqu'à arriver au château et ils se dirent au revoir et prirent chacun une direction différentes.[FIN DU RP] Re Le potagerContenu sponsorisé, le Permission de ce forumVous pouvez Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Dansle titre, le terme « chose » désigne les objets quotidiens pour lesquels Francis Ponge prend parti. On distingue quatre catégories de choses : - Les objets inanimés fabriqués par l’Homme comme l’éponge. - Les objets naturels comme l’huître. - Des lieux comme la plage. - Des personnages animés comme le gymnaste.
IUn poème moderne Le thème du poème est surprenant car il s'agit d'un objet ordinaire, prosaïque une huître. Il est très éloigné des thèmes classiques de la poésie traditionnelle. Le poème est écrit en prose et non en vers, il est construit autour de trois paragraphes de plus en plus courts, sans blancs typographiques, ce qui donne l'impression d'un texte serré, à l'image de l'objet évoqué. Le texte du poème peut faire penser à une définition d'objet plutôt qu'à un poème. IIUn poème descriptif La description de l'objet est minutieuse et objective le titre fait penser à celui d'un article de dictionnaire, il est simple et précis. Dans le poème, le temps employé est le présent gnomique "est", "on peut", "il faut". Les adjectifs sont nombreux "moyen", "rugueuse", "visqueux", "verdâtre". La description est précise et porte sur tous les aspects de l'huître. Elle renseigne le lecteur sur sa taille "de la grosseur d'un galet moyen". L'utilisation de cette comparaison permet au lecteur qui n'aurait jamais vu cet objet de se le représenter immédiatement. Cela est également le cas pour sa forme "de la taille d'un galet moyen" et sa couleur grâce à de nombreux adjectifs "moins unie", "brillamment blanchâtre", "verdâtre", "noirâtre". Le suffixe -âtre confère d'ailleurs à la description une tonalité péjorative, loin de toute idéalisation de l'objet poétique. Les cinq sens sont mis à profit afin de proposer une définition sensorielle précise. La vue est présente à travers les termes "unie", "ronds blancs", "blanchâtre", "verdâtre", "noirâtre". L'ouïe est présente à travers "les coups". L'odorat est présent grâce aux verbes "flue et reflue à l'odeur". Le toucher est évoqué avec "nacre" et des adjectifs comme "rugueuse" et "visqueux". Grâce à ces éléments, le lecteur peut créer une représentation mentale de l'objet. Cela renvoie à la conception de Francis Ponge qui décide de "prendre le parti des choses" comme le suggère le titre du recueil. IIIUn poème à l'image de l'objet décrit Il y a une analogie entre l'objet décrit et le poème car ce dernier est constitué de trois paragraphes portant sur un aspect de l'objet. Le premier paragraphe décrit l'extérieur de l'huître et explique comment l'ouvrir. Le deuxième paragraphe décrit l'intérieur de l'huître, le mollusque. Le dernier paragraphe fait mention de la perle cachée en son sein. Les trois paragraphes sont de plus en plus petits, comme les éléments de l'huître décrits la coquille, le mollusque, la perle. Certains mots, de par leur graphie, font écho à l'objet. En effet, la terminaison -âtre est présente à travers les mots suivants "blanchâtre", "verdâtre", "noirâtre", "opiniâtrement". De même, les allitérations, notamment celle du son [k], permettent d'illustrer les actions évoquées. La difficulté liée à l'ouverture de la coquille est ainsi évoquée à travers cette allitération qui évoque les coups portés "coups", "qu'on", "cassent", "coupent". IVLa symbolique de l'huître La place de l'huître dans le monde est évoquée comme elle le serait pour un personnage littéraire ordinaire. Les expressions suivantes "tout un monde", "à boire et à manger", "cieux", "firmament" semblent suggérer que l'huître constitue un microcosme, elle se suffit à elle-même. L'huître est d'ailleurs composée de trois éléments l'eau à travers la "mare" et les verbes conjugués "flue et reflue" qui peuvent faire penser à la marée ; le ciel à travers "les cieux d'en dessus" et "les cieux d'en dessous" ce qui peut faire référence à la terre, cernée par les cieux ; enfin la terre et le minéral grâce aux termes "galet", "nacre", "dentelle". L'Homme est seulement mentionné, il est réduit à l'aide d'une métonymie à des "doigts" qui sont "curieux", ils se coupent et se "cassent les ongles". Il y a la présence de tournures impersonnelles "il faut", "on" qui empêche d'individualiser l'Homme. Cependant, l'huître est tout de même soumise à l'Homme comme en témoignent les verbes employés "ouvrir", "tenir", "porte", "trouve". VLa métaphore de l'écriture poétique Ce poème raconte à travers une métaphore le travail d'écriture poétique auquel est confronté le poète. Ainsi le premier paragraphe représente la recherche, la création. Contrairement aux poètes qui parlent d'inspiration poétique ici, il est bien question de travail. La difficulté que rencontre l'Homme à ouvrir l'huître symbolise la difficulté que peut rencontrer le poète lors de l'écriture "s'y reprendre à plusieurs fois", "le travail", "les coups". Il s'agit d'une lutte plutôt violente entre l'Homme et l'objet. Ensuite, l'Homme accède à "tout un monde", le mollusque est décrit de manière esthétique "dentelle", "firmament", "cieux", "nacre". Tout comme le mollusque, le texte poétique, avant de devenir poème, doit être travaillé au niveau de la forme, de son esthétique. Enfin, le poète accède à la perle qu'il trouve. Même s'il faut lutter pour le trouver, un monde meilleur et plus beau reste accessible, il est à trouver répété deux fois dans le poème. Ce verbe est issu du latin tropare, qui signifie "inventer, découvrir, composer un poème". La dernière phrase fait référence à la trouvaille du poète, à l'objet créé par le travail d'écriture, le poème rare et précieux "dont on trouve à s'orner." Qu'est-ce qui rend ce texte poétique ?I. Le travail sur la formeII. La création d'images esthétiquesIII. La réflexion sur la création poétiqueComment Ponge renouvelle-t-il le regard porté sur l'huître ?I. Une description minutieuseII. Une description imagéeIII. L'huître, symbole de création littéraireEn quoi ce poème est-il moderne ?I. Un objet poétique originalII. Une écriture objectiveIII. Un objet métaphoriqueQuelle conception de la poésie se dégage de ce poème ?I. Un poème en proseII. Un poème objectifIII. Le travail de l'écrivain
FrancisPonge : L'Huître (Le parti pris des choses : 1942) Citation : "Le meilleur parti à prendre est de considérer toute chose comme inconnue" (Francis Ponge) Introduction : Titre manifeste, le Parti pris des choses de Francis Ponge indique une voie poétique où l'écrivain, tournant le dos à tout lyrisme, se met en quête de la matérialité des choses, de leur profondeur substantielle
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le parti pris des choses l huitre