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CrowsZero est un film japonais réalisé par Takashi Miike sur un scénario de Shogo Muto en 2007.Il s'agit de l'adaptation cinématographique des mangas Crows et Worst d'Hiroshi Takahashi.. Crows Zero est le premier épisode d'une trilogie dont les deux autres volets sont Crows Zero II et Crows Explode.La saga met en scène la rivalité de lycéens pour prendre le contrôle du lycée de
Play ***D’Anthony Marciano, avec Max Boublil, Alice Isaaz, Noémie Lvovsky, Alain Chabat. a passé sa vie à filmer sa famille et sa bande de potes. Lassé de fuir la réalité derrière l’objectif de sa caméra, il décide à 38 ans de rembobiner. Après Les Gamins 2013 et Robin des bois 2015, Anthony Marciano, épaulé par Max Boublil au scénario qui incarne Max, livre une comédie générationnelle futée et audacieuse par son parti pris raconter l’histoire d’un enfant des années 1980 à travers un montage de ses vidéos pendant 25 ans, du caméscope à l’iPhone. Même si l’ensemble aurait gagné à être resserré, la magie opère grâce une inventivité technique, le charme universel de son récit d’apprentissage premiers émois amoureux et sexuels, fraternité, la fuite du temps, la paternité, etc. sur fond de comédie sentimentale très balisée mais bien servie par son casting. Max Boublil est impeccable en ado attardé, Alice Isaaz évoque la Mia Farrow des premiers Woody Allen. Le tout porté par une bande-son aux allures de madeleine de Proust musicale. dans les monts Fuchun ***De Gu Xiaogang avec Qian Youfa, Wang Fengjuan. Fuyang, au sud de Shanghai, au sein d’une famille de classe moyenne dont la grand-mère décline. Ses fils, l’un endetté et joueur, l’autre plus riche et restaurateur, peinent à s’entendre mais restent unis autour de leur mère comme de leurs enfants. Le premier film de Gu Xiaogang, tourné sur deux ans pour capter le passage du temps et des saisons, cultive une sorte de distance qui, au risque de survoler les thèmes les difficultés financières, la solidarité jamais acquise, l’évolution des mœurs en Chine, puise sa force dans une réalisation esthétisante, amoureuse des personnages et des lieux qu’elle observe. Le spectateur est ainsi invité à se laisser captiver par de longs plans-séquence, bucoliques ou urbains, qui composent une peinture cinématographique qui n’est pas sans rappeler le cinéma de Jia Zhangke, nourri de fiction entrelacée à des observations documentaires. Filles du Docteur March **De Greta Gerwig, avec Saoirse Ronan, Emma Watson, Florence Pugh, Laura Dern et Meryl Streep. la guerre de Sécession, Jo March écrit des nouvelles. Ses sœurs rêvent à leur tour d’embrasser une carrière d’artiste Amy dans la peinture, Meg dans la comédie et Beth au piano… Greta Gerwig revisite le roman de Louisa May Alcott à travers ces portraits de femmes fortes qui refusent de céder face à l’adversité. La reconstitution est somptueuse, des scènes évoquent des tableaux de Monet et Renoir. La narration entrelace différentes temporalités pour démultiplier les enjeux dramatiques, et la mise en scène évolue selon l’âge des héroïnes tourbillonnante pour souligner l’impétuosité de la jeunesse, apaisée quand elles sont résignées. Rythmé par la musique sensible d’Alexandre Desplat, ce récit d’émancipation féministe au casting impeccable manque néanmoins d’émotion. du mensonge **De Bill Condon, avec Ian McKellen et Helen Mirren. arnaqueur professionnel s’est spécialisé dans la séduction de vieilles dames pour détourner leur argent. Sa prochaine cible? Betty, une veuve richissime… Il ne faut pas se fier aux apparences. Ce film surprend par sa mutation constante une comédie policière avec des escrocs seniors dans l’esprit de Braquage à l’ancienne 2017, puis un thriller historique qui revient sur le traumatisme de la Seconde Guerre mondiale, pour s’achever en manifeste MeToo! Un jeu du chat et de la souris où les faux-semblants volent en éclats et où les complots sont ourdis de longue date. Dommage que le dénouement soit si démonstratif. **De Runar Runarsson. une savante combinaison de scènes documentaires et d’autres plus scénarisées, le cinéaste islandais Volcano, Sparrows se penche sur la ferveur qui gagne son pays lors des préparatifs de Noël. De fait, il nous prive d’intrigue mais pas de son talent en nous faisant pénétrer une sphère plus personnelle, un cinéma plus introspectif. Passant sans transition de la tendresse à la satire ainsi que de visions cajoleuses à des apparitions plus surréalistes, il déroute d’autant plus que les saynètes ne paraissent pas spécialement liées entre elles. Cette formule singulière est l’occasion d’un voyage gentiment décousu où, Noël oblige, les émotions et les sentiments sont à l’honneur. Mais où les clichés d’Islande, eux, sont moins attendus. miracle du saint inconnu **De Alaa Eddine Aljem, avec Younes Bouab et Salah Bensalah. d’être arrêté, Amine enterre un sac d’argent dans le désert en arrangeant l’endroit comme une tombe. A sa sortie de prison, il découvre qu’un étrange mausolée en l’honneur d’un saint a été construit autour de son butin. A partir de cette situation cocasse, ce film marocain adopte le ton de la tragicomédie pour expliquer les multiples tentatives désastreuses du gangster pour récupérer son magot. Le récit s’attache en parallèle à détailler la vie rurale avec une galerie de personnages hauts en couleurs. Un peu répétitif, mais très plaisant. Manhattan Lockdown *De Brian Kirk, avec Chadwick Boseman et Sienna Miller. inspecteur à la gâchette facile enquête sur un vol qui a mal tourné en dérobant 50 kilos de cocaïne, les cambrioleurs ont abattu une dizaine de policiers… Ce thriller urbain musclé mise sur son unité de lieu New York et de temps une nuit pour raconter une traque sans relâche, enchaînant courses-poursuites et fusillades sur un rythme soutenu. Ce polar classique baigne dans une ambiance seventies et eighties, façon Un justicier dans la ville 1974 ou L’Arme Fatale 1987, pour parler de la corruption des forces de l’ordre. Il vaut surtout pour le ténébreux Chadwick Boseman Black Panther. *D’Alla Kovga. documentaire se concentre sur les débuts difficiles de Merce Cunningham. Alla Kovga a la bonne idée de recourir, comme Win Wenders pour son Pina Bausch, à la 3D. Laquelle donne de la profondeur à la danse, mais pas assez de relief au parcours de celui qui a bouleversé le langage chorégraphique en oubliant la narration pour se focaliser sur le mouvement. Ponctué d’interviews de Cunningham et d’extraits de sa correspondance avec le compositeur John Cage, le film nous en apprend finalement peu sur l’homme, rigide et peu disert malgré le génie créatif. Tropic *De Bas Devos, avec Saadia Bentaïeb. 58 ans, est technicienne de surface dans une entreprise. Après une journée de travail tardive, elle s’endort dans le métro. Elle se réveille au terminus et doit rentrer à pied… Ce drame belge repose sur son excellente idée de départ une femme croise des inconnus en pleine nuit, l’occasion de rencontres insolites et touchantes. Comme ce SDF à qui elle vient en aide alors qu’il meurt de froid. Une leçon d’humanité hélas plombée par la mise en scène qui abuse des plans fixes contemplatifs. Ils cassent le rythme de ce récit en temps réel quasiment sans dialogues. Love, le dernier yakuza *De Takashi Miike, avec Masataka Kubota. Tokyo, un jeune boxeur prend sous son aile une toxicomane qui se prostitue. Au même moment, c’est la guerre entre les triades chinoises et un clan yakuza… Cinéaste japonais prolifique, Takashi Miike réussit à chaque fois à surprendre ses fans. Avec ce film hybride, entre polar et drame romantique, il cède à son goût réjouissant pour la démesure. Affrontements sanglants entre gangs, histoire d’amour, victime traumatisée par un crime sexuel tout se mélange dans un scénario un peu confus, où la violence est exacerbée, voire burlesque. Trop long mais délicieusement enragé.
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Regarder maintenant NoteGenresAction & Aventure , Mystère & Thriller , Comédie , Crime & Thriller , Comédie Romantique , Made in Europe Réalisateur Casting RésuméUne nuit à Tokyo, nous suivons Leo, un jeune boxeur, qui rencontre son "premier amour", Monica, une callgirl toxicomane restée innocente. Léo ne sait pas grand chose et Monica est involontairement impliquée dans un trafic de drogue. Toute la nuit, un policier corrompu, un yakuza, son ennemi juré et une tueuse envoyée par les triades chinoises, vont les poursuivre. Tous ces destins s'entremêlent dans le style spectaculaire de Miike, anarchique et regarder First Love, le dernier yakuza en streaming complet et légal ?Il est possible de louer "First Love, le dernier yakuza" sur Orange VOD, Canal VOD, Universcine, Google Play Movies, Microsoft Store, YouTube, Cinemas a la Demande, Apple iTunes en ligne et de télécharger sur Orange VOD, Canal VOD, Universcine, Filmo TV, Apple iTunes, Google Play Movies, YouTube, Microsoft Store. Ca pourrait aussi vous intéresser Prochains films populaires Prochains films de Action & Aventure
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